L'actualité
du piano classique, jazz et variété étant de plus
en plus importante et les vidéos plus nombreuses cette page ne
comporte plus désormais que l'actualité d'un seul jour
et la présentation a un peu changé, une colonne a été
supprimée : la météo, le programme cinéma..sont
désormais en fin de page avec l'accès aux archives qui
seront aussi à partir du mois de juillet 2010 sauvegardées
par jour.
Tous les amateurs de musique, classique, jazz , variétés,
se retrouvent ici .... autour du piano !
Pensez à partager cette page :
05/07/2010
il faisait beau en France ce week-end, également
week-end de grands départs semble-t-il ... et en fait presque
tous les articles viennent du Québec !
"Ceux qui ont suivi notre récent Concours international
de violon ont entendu le Concerto op. 77 de Brahms trois fois, l'oeuvre
ayant été le choix de trois des six finalistes. Voici
de nouveau l'unique concerto pour violon du compositeur, mais cette
fois comme on ne l'a jamais entendu encore puisqu'il s'agit de la transcription
pour piano réalisée et jouée par Dejan Lazic."...cliquez
ici pour lire la suite(cyberpresse)
A voir Brahms/arr. Lazic - Piano Concerto no.3 after Violin Concerto
Dejan Lazic & Robert Spano
visitez le site internet de Dejan Lazic...cliquez
ici
"Une rencontre au sommet. Le Festival international
de jazz la souhaitait et il l'a eue. Samedi, peu après 20
h, au parc de la Confédération. Les musiciens de l'Orchestre
du Centre national des arts sont installés. Un batteur, un saxophoniste-flûtiste
et un contrebassiste les rejoignent. Puis un directeur musical et maître
de cérémonie. Finalement, un pianiste, Pardon, le pianiste
Dave Brubeck, 89
ans et une référence en jazz. Pas de fla-fla. Une courte
présentation et c'est parti. La prestation s'inscrivait dans
la série Concerts sous les étoiles et la constellation
était au rendez-vous. Sur scène et plus tard, dans le
ciel."...cliquez
ici pour lire la suite(cyberpresse)
A voir Dave Brubeck - Blue Rondo a la Turk
"Il est l'architecte du son funk-R&B de La
Nouvelle-Orléans, l'homme de l'ombre derrière les Meters,
Dr. John, Lee Dorsey et plusieurs autres talents bruts issus de la riche
tradition musicale louisianaise. À 71 ans, l'ambassadeur attitré
de la musique des bayous vient présenter un concert piano solo
et participer au Mardi gras qui clôturera le FIJM, tout juste
après avoir répondu présent à un concert
de solidarité pour les sinistrés du gâchis de BP.
«Je suis revenu habiter à La Nouvelle-Orléans»,
dit Allen Toussaint, dont la maison a été rebâtie
après le passage dévastateur de l'ouragan Katrina, en
2005"....cliquez
ici pour lire la suite
lun extrait du concert du pianiste Allen Toussaint
Des avis qui diffèrent...."Ce samedi,
nous étions tous en selle dans la Wilfrid pour une énième
escalade vers la suavité. Le retour de Jarrett, DeJohnette
et Peacock ne tient plus de la surprise mais bien de l'engagement.
Avec le trio suprême de la planète jazz au chapitre de
la suavité et de la grande maîtrise, il y a lieu de rester
fidèle.L'introduction pianistique précède le thème
You Go To My Head, les choses ont tôt fait de passer au swing.
Ça s'érotise vachement, Keith Jarret se lève
parfois de son banc, échappe quelques bêlements de jouissance
qu'on lui connaît depuis toujours. Tout est au beau fixe dans
la bergerie !S'ensuivent ballade et blues de haute tenue. Everything
Happens To Me, notamment."...cliquez
ici pour lire la suite(cyberpresse)
et "Keith Jarrett
est un virtuose du piano. Inutile de pinailler là-dessus, nous
serons sûrement tous d'accord. Inutile par ailleurs de revenir
sur le parcours de l'artiste aux quarante ans de carrière, reconnu
comme l'un des plus prolifiques et talentueux pianiste Jazz de la planète.
Cependant, alors que l'octogénaire Sonny Rollins nous avait épaté
la semaine dernière avec son souffle intact et sa bonhomie communicative,
que John Zorn -autre grosse pointure programmée au FIJM cette
année- nous avait surpris avec son marathon musical éclectique
et débridé, jeudi soir au Théâtre Maisonneuve,
le trio constitué du pianiste Keith Jarrett, du contre-bassiste
Gary Peacock et du batteur Jack DeJohnette n'a jamais livré hier
soir qu'une mécanique musicale parfaitement huilée et
exempte de surprise. "...cliquez
ici pour lire la suite(patwhite)
et un autre article "Keith Jarrett, homme de suspense, supposé
génie du piano, semble être le musicien jazz le plus craint
que je connaisse. De tout côté, au moment de sinstaller
dans nos sièges, 15 minutes avant le concert, on se demande si
celui-ci aura lieu. Apparemment, si quelquun tousse, ou si le
piano nest pas parfait, ou si le monsieur est de mauvaise humeur,
ou si quelquun prend une photo pendant le spectacle (car il sagit
bien ici de spectacle), on pourrait bien tout annuler.
Heureusement, cela ne sest pas produit et les trois musiciens
ont très bien joué. Malheureusement, pour bon nombre de
spectateurs de tous âges, le souvenir de cette soirée aura
été terni par une mise en scène de Jarrett à
la toute fin : alors que la foule demandait un rappel, il est revenu
sur scène, a demandé aux deux autres musiciens de le rejoindre
(seul DeJohnette est venu; Peacock, à son grand mérite,
savait probablement la farce qui se tramait ), puis notre grand
Seigneur du piano a pris le micro pour dire quelque chose qui devait
sûrement être très important, il a dailleurs
commencé par affirmer quil était le créateur
dune ambiance; mais, après quelques instants, prétextant
que quelquun venait tout juste de prendre une photo, il nous dit
quil nen dira pas davantage. Les deux musiciens déguisés
en clowns de cirque sont repartis dans leur cage. Dommage, car la musique
était au rendez-vous. Quoiqueje me demande si on devrait aduler
Jarrett à ce point. "...cliquez
ici pour lire la suite(voir.ca)
à voir quand même...
"Gustavsen, Jarrett, Jamal - Soirées
piano.On ne va pas voir et entendre Tord
Gustavsen pour être «décoiffé» par
les prouesses techniques du pianiste. Zéro pyrotechnie, tout
le contraire. Mais cest précisément dans cet art
de la retenue que le public nombreux et enthousiaste trouve
le bonheur avec Gustavsen.
Trois ans après son dernier passage à Montréal,
cest un Gustavsen au crâne rasé qui sest
présenté sur la scène de Duceppe samedi soir. «Jai
perdu beaucoup de cheveux depuis 2007, mais le groupe a gagné
un nouveau membre en échange», a-t-il dit dentrée
de jeu pour présenter un trio devenu quartet avec lajout
du saxophoniste Tore Brunborg. Si la présence de Brunborg libère
Gustavsen dune partie du fardeau mélodique, elle ne change
pas grand-chose aux couleurs globales de lensemble. À trois
ou à quatre, la musique de Tord Gustavsen est faite de la même
étoffe subtile et délicate.[...] quelques pas de
là, pendant que Gustavsen déployait son bleu nordique,
les spectateurs réunis à Wilfrid-Pelletier pouvaient apprécier
une approche jazzistique différente, plus rythmée et soutenue:
celle de limmense trio composé de Keith Jarrett,
Jack DeJohnette et Gary Peacock.Nous nen avons capté quune
quarantaine de minutes: trop peu pour juger de lensemble, mais
juste assez pour voir que Jarrett et ses troupes méritent toujours
les qualificatifs les plus approbateurs. "...cliquez
ici pour lire la suite(Le Devoir)
"Magistral est un qualificatif qui ne manque
pas de pompe... lorsque pompe il y a. Un cliché, pour ainsi dire.
Or, dans le cas qui nous occupe, ce cliché s'avère on
ne peut plus approprié: pour son anniversaire de naissance,
Ahmad Jamal a offert une performance qui devrait, à mon sens,
être retenue parmi les concerts classiques du Festival international
de jazz de Montréal, toutes éditions confondues."...cliquez
ici pour lire la suite(cyberpresse)
A voir
"C'est connu depuis sa découverte au FIJM
il y a trois ans, Robert Glasper a l'esprit black, son jeu est
lumineux. Et le talent lui sort par les oreilles.
Ayant assisté aux deux programmes du Marathon de John Zorn la
veille, je me suis pointé au deuxième concert du pianiste
afro-américain au Gesù, dans le cadre de la série
Invitation. Ce vendredi, l'invité de Glasper était nul
autre que le respecté trompettiste Terence Blanchard, issu d'une
génération précédente à la sienne.
En guise d'introduction, le jazzman afro-américain nous a servi
Trust Me, une ballade de Herbie Hancock. Il a déplié la
nappe, l'a fait voler au-dessus de la table. Terence Blanchard s'est
amené sur scène après que Glasper l'eut présenté...
non sans cabotinage. Ce qui nous donnerait un petit aperçu de
l'attitude... Manque de rigueur? Différence culturelle dans les
critères de présentation et d'organisation d'un concert?
Fouillez-moi.Chose certaine, Glasper joue en ciboulo!"..cliquez
ici pour lire la suite(cyberpresse)
."Franchement, je m'attendais à beaucoup plus pour ce
troisième et dernier concert du volet Robert Glasper que
prévoyait samedi la série Invitation. Au lieu d'une rencontre
visionnaire entre jazz nouveau de culture noire et musique urban, terme
générique qui désigne l'ensemble de la pop black,
j'ai eu l'impression d'assister à une répétition"...cliquez
ici(cyberpresse)
visitez le site internet de Robert Glasper...cliquez
ici
a lire : un article, pas très précis à vrai dire,,
sur un concert du pianiste Florian
Billot"Le jeune pianiste nous propose des pièces
à la renommée justifiée, Chopin, Schumann et Liszt
se partagent le programme de son concert. Du premier, il interprète
une Ballade tantôt emportée, tantôt apaisée
; ainsi que la tournoyante Fantaisie - Impromptu en do dièse
mineur. Le sensible et impétueux Liszt est aussi de la fête
: Rêve d'amour, sa pièce la plus connue, est un moment
de rêverie pure." ...cliquez
ici pour lire la suite*
"En 1995, aucun premier prix na été
décerné au treizième concours Chopin
de Varsovie, le deuxième prix ex æquo ayant été
partagé entre le Russe Alexeï Sultanov (1969-2005) et le
Français Philippe
Giusiano (né en 1973). Inexplicablement, ce dernier nen
a pas acquis une notoriété à la mesure dun
tel succès et, surtout, de son talent, largement confirmé
au cours dun récital donné dans le cadre de la vingt-septième
édition du Festival Chopin à Paris, lun des seuls
lieux de la capitale à programmer cet artiste trop rare.Devant
un public un peu plus clairsemé quà laccoutumée,
la première partie est bien sûr consacrée à
Chopin, avec dabord les cinq Mazurkas de lOpus 7 (1831).
Le jeu du pianiste marseillais est toujours aussi soigné et précis,
parfaitement articulé mais sans sécheresse, se montrant
plus expressif quà son habitude, que ce soit dans le caractère
populaire, dans lélan ou dans la mélancolie"...cliquez
ici pour lire la suite(concertonet)
a voir Chopin - Prelude 24 Op 28 - Philippe Giusiano
Un journaliste québecois complètement à
côté de ses pompes....la chaleur peut-être ??? ??
voilà qu'il annonce un festival avec le pianisteJulien
Brunetaud en écrivant ..."Le plus important festival
de blues du pays amorce sa 17e présentation le 9 juillet avec
un contingent d'artistes venus des quatre coins du monde. Pendant 10
jours, 160 concerts, petits et grands, en périphérie du
blues ou dans son épicentre, sont au programme. Coup d'oeil.[...]Mr.
Boogie Woogie est hollandais, le guitariste Mason Rack, australien,
la pianiste Julie Brunetaud est bleue comme ses Bleus déchus,"....
sauf que ce n'est donc pas une pianiste mais un pianiste et qu'il s'appelle
Julien et non Julie et je me demande bien ce qu'est un bleu déchu
?.??? ah si ... celui des footballeurs peut-être !!!...et beh
pas très gentil en plus ce "journaliste" mais en est-ce
bien un ??..bon ...voir le site du festival l international de blues
de Tremblant, du 9 au 18 juillet...ww.tremblantblues.com
....voir
l'article en cliquant ici(cyberpresse)
"un festival de musique classique, cest
souvent un bel endroit. De ce côté, les Rencontres musicales
de Noirlac, dans le Cher, jusquau 17 juillet, ne craignent
personne. Samedi prochain, le 10, Brigitte Engerer et un collègue
"pianiste-improvisteur" donneront un concert autour de
Claude Debussy, le Français et Alexandre Scriabine, le Russe.
A Paris, le 10e Festival Jeunes talents aura lieu du 9 au 20
juillet à lHotel de Soubise, autre endroit de rêve"...cliquez
ici pour lire la suite(france info)
A visiter : le site internet du compositeur Bryan
Christian que Juventus a choisi de retenir comme invité
: "Juventus aide la musique contemporaine en commandant
régulièrement une oeuvre à compositeur.Cette année,
comme l'an dernier, c'est Bryan Christian qui a été
retenu. L'oeuvre qui sera jouée ce lundi soir sur la scène
du théâtre s'intitule Marées pour trio à
cordes, flûte, hautbois et piano. Ses interprètes seront
Liana Gourdja au violon, David Gaillard à l'alto, Marc Coppey
au violoncelle, Alexandra Grot à la flûte, Giorgi Gvantseladze
au hautbois et Julien Libeer au piano. Quant au compositeur, il
sera dans la salle. Il est arrivé à Cambrai ces derniers
jours et assiste aux répétitions."...cliquez
ici pour lire la suite(La voix du nord)
Pour visiter le site internet de Bryan Christian...cliquez
ici
"Les prochaines « Musicales de Préfailles
» sont très attendues. Cet événement
devenu incontournable revient dès le samedi 17 juillet. Cette
semaine sera une belle suite de concerts très variés,
avec des musiciens de très haut niveau"ainsi ...Mardi
20 juillet, à 21 h, à l'Espace culturel, récital
de Frédéric
Chiu, piano, oeuvres de Chopin, Liszt, Prokofiev......cliquez
ici pour lire la suite(ouest France)
a voir
Carnival of the Animals by Saint-Saëns is re-interpreted by Frederic
Chiu playing the role of all the orchestral instruments on his solo
piano.
"Tout était en place pour enfin réhabiliter
le compositeur André Mathieu dans la mémoire collective
québécoise. Parallèlement à Lenfant
prodige, le film de Luc Dionne, une biographie exhaustive (signée
Georges Nicholson), des émissions spéciales, des concerts,
des disques. Jamais le nom dAndré Mathieu na autant
circulé, évoquant enfin autre chose que la salle de spectacle
de Laval. Pour le pianiste Alain
Lefèvre, qui travaille depuis plus de 25 ans à
faire connaître luvre du compositeur oublié,
cette convergence empruntait la forme dun aboutissement. Même
si le film de Luc Dionne, auquel il a étroitement collaboré,
na pas obtenu le succès escompté, le musicien indique
aujourdhui que cet élément ne compte pour rien dans
sa décision récente de mettre un point final à
«lépisode André Mathieu»."...cliquez
ici pour lire la suite(mon cinéma)
Arras..."Pour sa première année
à la citadelle, la scène secondaire, dite green room,
a remporté un certain succès. ... Hier encore, quelques
groupes tendance alternative rock ont pu faire leur trou, sous les yeux
de festivaliers plutôt convaincus et qui trouvaient presque un
espace de verdure (un peu foulé le terrain de foot) à
proximité.C'est ainsi que le groupe de Patrick Watson,
qui mêle différentes influences, a séduit les centaines
de personnes sous le dome de la green room . Piano, guitare, basse,
violons et violoncelles ont relevé une performance scénique
vraiment sympathique. La pluralité des instruments et la complexité
des morceaux ont ravi les mélomanes. "...cliquez
ici pour llire l'article complet (La vix du nord)
a voir un extrait d'un autre concert à Portland le 28 mai 2010
En lien avec le
festival de Colmar..."Exposition Autour de
Ravel et de Rachmaninovau Koïfhus .exposition, comme chaque année consacrée
au dédicataire du festival et ici aux deux dédicataires,
est à découvrir dans deux salles, à létage
du Koïfhus. Compte tenu de lannée franco-russe, ce
sont donc Ravel et Rachmaninov, deux compositeurs dont les parcours
sont retracés. Cela « grâce au travail de Joëlle
Constanty-Kugler : « qui na eu de cesse de rechercher de
part et dautre des documents », aux dires de ladjointe
à la culture Marianna Chelkova, qui ne croyait pas cela réalisable
vu les difficultés rencontrées. En effet, de nombreuses
archives consacrées à Ravel ne sont pas totalement publiques
et la fondation Rachmaninov de Paris ne possède quun maigre
fonds documentaire."...cliquez
ici pour lire la suite
Deux vidéos du jour qui viennent de paraitre sur
culturebox
DécouvrezIvan Ilic,
pianiste virtuose de la main gauche ...
et
Découvrez Jazz à Vienne avec China Moses et Dee Dee
Bridgewater
Pensez à regarder la "petite télévision"
de pianobleu.com régulièrement mise à jour, avec
nombreuses videos en lien ou non avec l'actualité, au hasard
de mes rencontres...cliquez
ici
Pour retourner à l'accueil de Piano bleu ....cliquez
ici
Retrouvez une information sur le site Piano bleu
Disques / Livres / DVD sélectionnés
en événement "du moment "
Binet
Haut de gamme Christian Binet, créateur des célèbres Bidochon,
se passionne depuis toujours pour la musique classique et est même
un compositeur . Aussi l'on peut dire qu'il connait la musique et sa
nouvelle bande dessinée le prouve : professeurs frustrés,
élèves sans talent, parents obstinés, concertistes
querelleurs ou en mal de public ...s'y retrouvent . En fait son livre,
certes avant tout ironique, s'avère aussi un plaidoyer tant pour
les professeurs qui doivent faire preuve de beaucoup de psychologie
que pour les élèves parfois incompris...cliquez
ici pour lire la suite dont l'interview de l'auteur et voir des
extraits
Disques / Livres / DVD
Images
Croisées
Antoine Didry-Demarle Il n'est pas un mystère que pour les jeunes musiciens il
est de plus en plus difficile d'obtenir la production d'un disque pourtant
c'est un outil qui leur est indispensable pour se faire connaître.
Heureusement de nouvelles sociétés viennent parfois en
aide à certains d'entre eux. Ainsi la société Becar
Prod Limited qui a choisi de multiplier les moyens, notamment un excellent
piano Fazioli, pour éditer le jeune pianiste Antoine Didry-Demarle
dont le parcours est loin de démériter, bien au contraire
puisqu'il a d'ailleurs été lauréat de la fondation
Agostini en 2005 et du mécénat musical de la Société
Générale en 2006...(voir
ici son parcours)
Il a choisi d'enregistrer un programme de trois compositeurs qui occupent
une place importante dans son répertoire ces dernières
années alternant les Klavierstucke de l'opus 118 de Brahms à
des préludes de Debussy et terminant par la Sonate en si mineur
de Liszt. [....] Un programme fort bien construit et passionnant
tant par la richesse de ces contrastes que par son unité logique
qui ouvre l'imagination et qu'Antoine Didry-Demarle nous invite à
vivre comme une exposition ou un voyage. Ce qui se fait sans peine grâce
à son interprétation remarquable qui en exalte parfaitement
les multiples couleurs et reliefs mais aussi les correspondances ainsi
pourrez vous le découvrir dans deux extraits plus bas : le dernier
intermezzo en mib mineur de l'opus 118 Brahms où des motifs mélodiques
ne sont pas sans rappeler les formules lointaines de "la terrasses
des audiences du clair de lune." de Debussy comme l'explique
le pianiste. Vous pourrez également voir une vidéo prise
lors de l'enregistrement de "Ce qu'a vu le vent d'ouest"....cliquez
ici pour lire l'article complet ,en écouter des extraits
et voir une vidéo
Julien
Brunetaud Trio Look like twins
La biographie de Julien Brunetaud, né à Agen est originale
à plus d'un titre, musicien autodidacte, il a créé
son premier groupe dès l'adolescence, son parcours est ensuite
très riche en nouvelles rencontres. L'année 2005 semble
avoir marqué une étape importante dans sa carrière
: il est élu meilleur pianiste Européen et enchaîne
plusieurs voyages outre-atlantique à Cincinnati , à la
Nouvelle Orléans, dans le Mississipi... et en novembre 2005 ,
il accompagne Chuck Berry a l Elysée Montmartre à
Paris. Sa musique est logiquement le fruit à la croisée
du blues, du boogie, du jazz et du rhytm & blues. Ces deux premiers
disques ont été d'ailleurs produits à la Nouvelle
Orléans. De retour en France depuis plusieurs années et
alors qu'il a 28 ans, il s'affirme comme un artiste complet dans son
pays natal. Ce cinquième disque qui paraît chez le label
Frémaux et associés montre ses talents de pianiste, organiste(orgue
Hammond), chanteur mais également de compositeur puisque à
côté de douze reprises ( Jelly Roll Morton, Dexter Gordon,
Rosco Gordon, Herman Hupfeld, Amos Milbur, Bob Marley...) quatre des
morceaux de ce disque sont ses compositions originales...cliquez
ici pour lire la suite, écouter des extraits et voir trois
vidéos
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Disques / Livres / DVD
Neuvième
Vague
Beethoven
"Grande sonate pathétique" op.13
"Clair de lune" op.27 n°2
"Tempête" op.31 n°2
"Pastorale" op.28
Vahan Mardirossian, piano Difficile de rester indifférent(e) à la peinture qui
illustre le disque Neuvième Vague de Vahan Mardirossian et ce
sont, confie le pianiste, dans la nouvelle interview ci-dessous, précisément
les titres des sonates de Beethoven qu'il a choisi de réunir
dans ce double disque qui lui a rappelé ce tableau du peintre
arménien Hovanness Aïvazovsky. Une illustration effectivement
splendide qui, comme il le dit, englobe les titres des sonates (Pathétique,
Tempête, Clair de Lune...). Un tableau d'ombre et de lumière
à l'image de la musique de Beethoven qui d'ailleurs évoque
à la fois le cauchemar et le rêve, dans une musique tour
à tour profonde ,enjouée et folle...et parfois même
ambiguë ainsi l'auteur du livret, Franck Ciup, indique au sujet
de la sonate "Clair de lune" : "le poète
allemand Ludwig Rellstab y voyait en écoutant celle-ci, la promenade
en barque de deux amoureux , au clair de lune sur le lac des quatre
cantons" et Beethoven dans une interprétation quasi hypnotique,
évoquait, parait-il des fantômes traînant leur chaîne
dans un château hanté ; thème plaintif en écho,
répondant aux immuables triolets comme des âmes désolées,
errantes, inconsolables..." ce qui n'est pas du tout la même
chose !!! A l'écoute de l'interprétation de Vahan Mardirossian,
particulièrement lente, et d'une grande intériorisation,
la profondeur de ce mouvement se révèle et c'est effectivement
plus cette dernière image, certes moins réjouissante mais
combien plus émouvante, qui viendrait à l'esprit. Oui
assurément son interprétation en est des plus remarquables...
et mériterait toutes les récompenses ...
Et, oui, une nouvelle fois, l'éloge de la lenteur mérite
d'être fait...cliquez
ici pour lire la suite, en écouter un extrait et voir une
vidéo
Americas
Dominique Fillon, piano
Nic Cecire, batterie
Steve Rodby, basse
Invités :
Youn Sun Nah, chant
Ulf Wakenius, guitare
Olivier Roman Garcia, guitare
Ce n'est ni au Japon ni dans l'espace que Dominique Fillon nous conduit
cette fois comme l'on aurait pu peut-être s'y attendre à
lire sa précédente interview sur son parcours , mais il
est vrai qu'avec ce pianiste, compositeur, arrangeur et réalisateur,
avide de rencontres musicales il faut s'attendre à nombreux détours
avant d'arriver à destination... et un voyage vers les amériques
avait aussi toutes les bonnes raisons de s'imposer pour cet amoureux
de la samba et du jazz.
Ainsi l'on devine qu'il n'a pas du se faire beaucoup prier pour suivre
les conseils du bassiste Steve Rodby, déjà présent
sur son précédent disque, même si c'est un batteur
australien, Nic Cecire, qui vient compléter le trio cette fois-ci....cliquez
ici pour lire la suite et voir plusieurs vidéos
Chopin
Sonate n°2 opus 35
24 Préludes opus 28
Hélène Tysman Chopin ne disposa que d'un piano loué localement dont la
médiocrité l'exaspérait lorsqu'il acheva en janvier
1839 les Préludes, alors qu'il passait un pénible hiver
avec George Sand aux Baléares, relatent les deux auteurs du livret
du disque, qui en sont également producteurs, Hervé et
Catherine Dumesny. Certes des sentiments d'énervement, voire
de désespoir ont traversé aussi momentanément la
jeune pianiste Hélène Tysman lors de l'enregistrement
de son disque puisque répondant ici à nombreuses questions
à l'occasion de la sortie de son premier disque elle relate notamment
que "la première journée d'enregistrement a été
réduite à néant en raison de la pédale sourdine
du piano qui criait à en réveiller Chopin dans sa tombe
!"...Heureusement tout s'est arrangé et bien sûr
c'est avant tout le parcours d'une longue recherche personnelle auprès
de nombreux prestigieux professeurs qui lui ont beaucoup apporté,
et sa sensibilité personnelle, et non ce facheux contretemps,
qui lui permettent aujourd'hui d'offrir ici un enregistrement remarquable
par la tension qui y règne. Ce n'est assurément pas un
Chopin "charmeur" ou "léger" que la jeune
femme fait transparaître par son interprétation magnifiquement
colorée et d'un relief à donner le vertige dans ce programme
judicieusement construit, mais un Chopin dont elle exalte avec une incroyable
originalité, et clarté, tous les états d'âmes
et aspirations qu'il a précisément mis dans ses préludes......cliquez
ici pour lire la suite , voir et entendre les extraits
Jean
Pierre Como Trio
Répertoire
Jean Pierre Como, piano
Aldo Romano, batterie
Diego Imbert, contrebasse
La première fois qu'il a donné un concert de jazz adolescent,
au conservatoire, on a dit à Jean-Pierre Como" ce n'est
pas de la musique, c'est du bruit" relate-t-il en réponses
à des questions sur son parcours(voir
ici) ... Fort heureusement ces durs mots ne lui ont pas coupé
l'envie de poursuivre à jouer ce "bruit" et
notamment en travaillant comme un interprète classique un "répertoire"
de standards du jazz. Ainsi avec deux amis musiciens de longue date
il a choisi pour ce nouvel enregistrement une sélection de huit
morceaux..."Souvenirs d'une autre époque, de ces journées
à jouer des standards du jazz. A cultiver ce genre musical avec
eux, grâce à eux...Et finalement sans eux. Mais on ne décide
pas de la place des standards. ils font partie de ce socle d'où
partent tant d'autres découvertes musicales. Aujourd'hui voilà
qu'ils reviennent avec force."explique-t-il dans le livret.
Soyez tout de suite rassuré, si besoin en était, le son
de cet enregistrement offre un bien joli "bruit" que l'on
peut appeler sans faire d'erreur "musique" car les mélodies
y sont assurément de toute beauté et d'une grande douceur,
d'ailleurs le thème dominant de ces standards est l'amour (voir
la liste ci-dessus) et les trois compositions de Jean-Pierre Como restent
sur ce même registre, et il ne serait pas surprenant que son splendide
'The Sydney years " deviennent à son tour un standard
car sa rythmique est des plus agréable....cliquez
ici pour lire la suite et écouter des extraits
Franz
Liszt(1811-1886)
Jean Muller , piano En janvier 2005, il avait pu vous être présenté
dans l'actualité de pianobleu.com un disque du pianiste Jean
Muller comportant des oeuvres de Liszt couplées avec celles d'autres
compositeurs qui permettait déjà de mesurer à la
fois les grandes qualités pianistiques et le jeu poétique
de cet interprète, il revient ici avec un nouvel enregistrement
consacré cette fois uniquement à Franz Liszt dans un programme
exaltant le grand lyrisme de oeuvres de ce compositeur.
Ainsi il débute son programme par le Liebestraum n°3 que
vous pourrez entendre plus bas dans cette page qui, explique-t-il, était
à l'origine une pièce pour piano et voix, et il a choisi
nombreuses autres pièces qui sont aussi des transcriptions d'oeuvres
vocales. La sélection qu'il a faite, mûrie au fil de concerts
qu'il a pu donner, se révèle assurément un très
bon choix car ce programme s'avère en fait très varié.
Entre les séductrices et démoniaques transcriptions d'Opéra
et le mélancolique "Sonnet de Pétrarque"
ou la sereine "Consolation", c'est un monde de sentiments
très opposés que le pianiste nous fait partager dans une
interprétation tantôt éblouissante tantôt
émouvante. Si Franz Liszt n'avait que onze ans lorsqu'il donna
son premier concert public , le pianiste Jean Muller a été
encore plus précoce : dès l'âge de huit ans il a
créé en public une uvre de son compatriote luxembourgeois
Alexander Mullenbach lors d'un concert de gala ...nul doute qu'il lui
reste de cette première expérience le goût pour
faire passer l'émotion dans la musique et le chant contrasté
et expressif de son piano parvient ici merveilleusement à captiver
l'auditeur.Jean Muller a bien voulu répondre à quelques
questions pour présenter son disque...cliquez
ici pour lire la suite et écouter l'extrait
Jean Muller a également répondu à d'autres
questions sur son parcours...cliquez
ici pour visitez la page qui lui est consacrée
Chopin
et Alkan Sonates pour piano et violoncelle Violoncelle, Tatjana Vassiljeva
Piano, Jean-Frédéric Neuburger
Le pianiste Jean-Frédéric Neuburger est déjà
bien connu des internautes de pianobleu.com par contre la violoncelliste
Tatjana Vasiljeva russe est une découverte, aussi sachez qu'elle
a été victorieuse du Grand Prix Rostropovitch de Paris
en 2001 et est déjà considérée comme l'une
des solistes majeure de sa génération. Sachez encore qu'en
2009 elle a accompagné l'orchestre national d'Ile de France en
tournée et qu'elle a joué avec d'éminents musiciens...
dont Jean-Frédéric Neuburger qui déclare dans ses
réponses à de nouvelles questions pour la sortie de ce
disque(voir plus bas) que c'est l'une de ces partenaires préférées
avec laquelle il joue un répertoire varié. Il est vrai
que l'entente semble parfaite à l'écoute de ce disque
d'oeuvres d'une dynamyque très exigeante que les deux musiciens
offrent dans un jeu très énergique et en conservant une
même respiration laissant place à la poésie dans
les mouvements plus lents ce qui est tout aussi difficile...cliquez
ici pour lire la suite et écouter un extrait
Un
portrait de Yundi Jeune et romantique Dans le documentaire de Barbara Willis réalisé en
2008, sorti en début d'année 2010 chez Euroarts. on ne
trouvera pas de réponse à la question : pourquoi Yundi
Li, dont vient également de sortir un disque des Nocturnes de
Chopin aussi sous son seul prénom, a-t-il choisi de se séparer
de son nom même si le fait qu'il ait un esprit "jeune
et romantique" peut laisser à penser que ce soit peut-être
une explication. Ce n'est certes pas un désir quelconque de renier
sa famille, car ce DVD montre, entre autres, son attachement à
celle-ci même si son grand-père se plaint qu'il ne vienne
plus beaucoup le voir. Les multiples interviews du documentaire qui
retrace le parcours de Yundi Li depuis sa première leçon
d'accordéon (à touches de clavier et non boutons), sa
découverte du piano quatre ans plus tard, son désir dès
cet âge d'être pianiste professionnel, qu'il avait d'ailleurs
relater dans une rédaction... et tout ce qu'il a entrepris jusqu'à
aujourd'hui pour y parvenir en passant bien sûr par sa médaille
d'or au concours Chopin(en 2000) dévoilent en effet outre la
personnalité du talentueux pianiste travailleur, l'enfant souriant
et sensible, choyé par ses parents et grands-parents, et apprécié
de ses professeurs. Certes le mot choyé n'est peut-être
pas vraiment approprié puisque sa mère confie qu'elle
suivait son travail en lui donnant quelques petits coups d'aiguille
à tricoter mais dit-elle "sans faire véritablement
mal, juste pour l'intimider..." et son premier professeur de
piano M.Wu était sévère et muni d'une baguette,
explique Yundi Li qui ne semble nullement avoir été traumatisé
et en sourit plutôt aujourd'hui. Une autre supposition...cliquez
ici pour lire la suite et voir trois vidéos
Camille
Saint-Saëns (1835- 1921)
Musique de chambre avec Vents
Intégrale - 2CD
Sans doute cette intégrale de musique de chambre avec vents mériterait-elle
que l'on précise dans le titre"et avec piano"
car l'instrument roi est présent dans toutes les pièces
de ce double disque mais il est vrai aussi que Camille Saint-Saëns
dont l'essentiel de la musique est de la musique de chambre, qu'il a
écrite dès l'âge de cinq ans jusqu'à sa mort,
a composé nombreuses autres oeuvres de musique de chambre avec
piano et autres instruments, étant lui-même pianiste et
organiste virtuose... et il s'agit ici d'une intégrale des oeuvres
pour ce qui concerne les seuls instruments à vent, ce qui justifie
donc le titre restrictif " Musique de chambre avec vents"
. Bernard d'Hau, Directeur du label Indésens, précisément
spécialisé dans la publication de disques d'instruments
à vent, a d'ailleurs fait appel à deux pianistes pour
enregistrer ces nombreuses pièces : Laurent Wagschal, dont on
connaît déjà les nombreux enregistrements de musique
de chambre et Pascal Godart, qui s'est notamment fait remarqué
en remportant en 1996 le Grand Prix International Maria Callas à
Athènes avec dix concertos pour piano et orchestre, mais qui
joue aussi beaucoup en tant que chambriste....cliquez
ici pour lire la suite et écouter deux extraits
Baptiste
Trotignon
Suite...
Changement de décor pour le pianiste Baptiste Trotignon qui après
avoir enregistré dans un studio américain son précédent
disque "Share" partage sa musique sur scène
à Londres avec les mêmes musiciens, hormis le trompettiste,
et avec un public relativement discret ce qui n'est pas un mal pour
un enregistrement. Changement de dimension aussi puisque cette suite
à l'enregistrement en studio est l'occasion de réaliser
une oeuvre de plus grande envergure en plusieurs mouvements logiquement
nommée "Suite... " dans tous les sens du terme
donc. Il faut croire que les scènes londoniennes en l'occurrence
le "Charlie's Wright" n'ont rien à envier aux réputés
studios américains, au contraire car la qualité sonore
est vraiment remarquable, pour ne pas dire encore meilleure, plus claire,
que celle du précédent disque déjà d'une
très belle qualité : l'on vit véritablement ce
concert(du moins en disque...). Les musiciens ont aussi gagné
en spontanéité, en précision et fluidité
de jeu... leur plaisir de jouer se ressent et ... bref le courant passe
! Et c'est d'ailleurs une musique très joyeuse et énergique
tout en étant très mélodique comme l'est habituellement
la musique de Baptiste Trotignon que cette suite de près de cinquante
minutes offre sans véritable temps d'arrêt entre les cinq
parties hormis de courts "Interlude" d'un tempo plus lent
et finalement peu de place pour les applaudissements pourtant grandement
mérités. Deux pièces plus courtes complètent
l'album : une reprise de "Flow" qui a gagné
en intensité depuis son enregistrement pour le disque "Share"
et, un standard enregistré lors d'un autre concert au Sunset
à Paris, offrant également une excellente qualité
sonore, et qui conclut avec douceur l'album : "I fall in love
too easily".
Baptiste Trotignon a bien voulu répondre à quelques questions
sur son disque et son actualité ...cliquez
ici pour lire la suite et écouter de extraits
Grégory
Ott Trio
Ojeada
Si Grégory Ott a choisi pour titre de son disque "Ojeada"
(clin d'oeil en espagnol) la splendide mélodie mélancolique
du premier morceau du disque : "Light motif" donne
envie d'ouvrir grands les deux yeux (et surtout deux oreilles) sur la
musique de ce trio et plus particulièrement son leader qui se
définirait, selon ses mots, comme un "pianiste compositeur
amenant des éléments jazz ou pop". Le disque
s'illumine dès le second morceau "Hide and seek"
dans une musique emportée par la belle rythmique aérienne
et solide de ses deux complices. Dans le troisième titre "Marcel",
l'harmoniciste invité ajoute une nouvelle couleur mélancolique.
La belle fluidité des deux titres qui suivent "Hope"
et " "A la dérobée" ne d ément
aucunement l'espoir d'avoir là un trio hors du commun qui sait
captiver ses auditeurs sans jamais l'ennuyer, offrant un beau voyage
musical, aidés par leurs trois invités qui apportent de
nouveaux paysages d'une même splendeur. Trois morceaux piano solo,
le titre éponyme "Ojeada" et deux arrangements
qui montrent la variété de l'inspiration de Grégory
Ott : "Le Sud " de Nino Ferrer, la berceuse "Lullaby"
de Brahms combleront plus particulièrement les amateurs de piano.
Et à regarder cette fois, toujours avec les deux yeux ouverts,
un bonus vidéo, un piano solo "Summertime" où
Grégory Ott se révèle encore très inventif
cette fois autour de l'oeuvre de Gershwin.
Grégory Ott a bien voulu répondre à nombreuses
questions...cliquez
ici pour lire la suite et voir une vidéo
Visitez également la page sur Grégoy Ott...cliquez
ici
Ca vient de sortir
ou cela va sortir !
Concerto pour piano n°3 (arrangement du Concerto pour violon)
Dejan Lazic
(voir actualité du 05/07/2010)
Oeuvres pour piano et orchestre de Robert Schumann et Clara Wieck
Lev Vinocour avec l'Orchestre Symphonique de la Radio de Vienne
(voir actualité
du 02/07/2010)
Nocturnes de Chopin
Brigitte engerer
(voir actualité du 24/06/2010)
Chopin
Concerto n)1
Berceuse
Etudes op.10
Nobuyuki Tsujii
( (voir l'actualité du 11/06/2010 pour en savoir plus et écouter
des extraits et voir des vidéos )
Ketil Bjornstad
L'Appel de la rivière suite du précédent livre la société
des jeunes pianistes
(voir l'actualité du 20/05/2010
pour en savoir plus
Sébastien Trio Live
au Duc des Lombards
(voir l'actualité du 10/06/2010 pour en savoir plus et écouter
des extraits)
Shostakovitch
The Preludes and fugues
Alexander Melnikov
(voir l'actualité du 3 juin 2010 pour en savoir plus ett écouter
des extraits)
Un piano
Louis Joos
Chopin et Georges Sand
une passion flamboyante
avec le texte d'Alain Duault lu par lui-même et Marie Christine
Barrault
Piano Yves Henry
Voir l'actualité du 01/06/2010 pour en savoir plus et voici
deux extraits :
Antoine Hervé
I mean you
hommage à Thelonious Monk
voir actualité du 21/05/2010
pour en savoir plus et écouter des extraits.
Ketil Bjørnstad "Remembrance"
György Ligeti
(1923 - 2006)
Works coffret de neuf CD voir actualité
du 20/05/2010
pourécouter des extraits
Yann Queffelec
le piano de ma mère
voir actualité du 19/05/2010
et surtout du 20/05/2010
pour en savoir plus
et finalement ne pas l'acheter car c'est un "non livre" selon
propre son auteur
Schumann
Mikhaël Levinas
Ecouter cet extrait
Nocturnes de Chopin
Luis Fernando Pérez
écoutez ici un exrtrait avec l'aimable uatorisation du labell
Mirare
voir l'actualité du 12/05/2010
pour écouter d'autres extraits et en savoir plus)
Hommage à chopin
(voir actualité du 10/05/2010
pour écouter des extraits et en savoir plus)
Chopin
Louis Lortie
volume 1
(voir actualité
du 04/05/2010 pour écouter des extraits et en savoir plus)
Haydn
Jean-Efflam Bavouzet
(voir actualité
du 30/04/2010 pour en savoir plus et écouter des extraits)
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