Les nouveautés sur le site (archives 22)
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Depuis Alfred Cortot, rares sont les pianistes qui osent
présenter lintégrale des Etudes et des
Préludes de Chopin en une soirée. Roustem
Saïtkoulov sest montré capable de relever
le défi en donnant ce programme à plusieurs
reprises, obtenant de véritables triomphes, notamment
au Festival Chopin de Nohant en 2006.
Vainqueur en 2003 du Masters de Monte-Carlo, ce pianiste
est décrit par Sir Neville Marriner comme artiste
de l«intelligence, noblesse, élégance
transparence de la communication pianistique et créatrice»....cliquez
ici pour lire la suite
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Le bimestriel Pianiste est bien connu des amateurs de
piano désireux non seulement d'écouter l'instrument
mais surtout d'en jouer : à vocation pédagogique,
la revue publie en effet dans chacun de ses numéros
une douzaine de partitions de tous niveaux(débutant,
moyen, supérieur) où chacun à de fortes
chances de trouver chaussure à son pied enfin plutôt
partition à sa main, quoique pour ce qui est du dernier
numéro la première pièce du niveau
débutant (Landler Wo011 n°2 de Beethoven) ne
s'adresse pas à des élèves de première
année.
Au fil du temps la revue a évolué : dans un
premier temps seul un cd comportant les pièces proposées
et des exercices accompagnaient la revue, depuis quelques
années il était possible, à condition
de payer un surplus d'abonnement, d'écouter, sur
internet uniquement, les précieux conseils de pianistes
réputés (Jacques Rouvier, Marie-Josèphe
Jude, Mathieu Papadiamondis, Bruno Riguto, Laurent Cabasso,
Jean- Marc Luisada..., les cours restant accessibles
durant deux numéros soit quatre mois, il fut possible
à une période de poser directement des questions
au "professeur" lors d'un chat d'une heure organisé
ponctuellement (une fois par numéro),. Récemment
les cours sont devenus téléchargeables pour
une durée de vie illimitée. Seul un dvd du
cours de Jean-Marc Luisada avait été réalisé.
Sans doute ce DVD a-t-il connu un large succès puisque
désormais c'est chaque numéro qui sera accompagné
d'un DVD...cliquez
ici pour lire la suite
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La jeune pianiste virtuose Sarah Zajtmann donnera un
concert Dimanche 10 février 2008 à Saint Vallerin(71)
avec Allan Sternfield, professeur à l'académie
Rubin de Jérusalem . Sarah Zajtmann née le
15 février 1997 étudie le piano avec son père
dès l'âge de 3 ans et demi. Á 9 ans,
elle est déjà lauréate de plusieurs
concours dont celui des "Clés d'Or" remporté
5 années consécutives. Elle étudie
également avec Bruno Robilliard, et au CNR de Lyon
dans la classe de Chrystel Saussac. En mai 2006 à
Jérusalem, elle donne son premier récital
solo. Elle se produit depuis régulièrement
en concert, seule, en musique de chambre ou avec orchestre
(à Paris, salle Cortot,à Lyon salle Varèse
avec l'orchestre APERTO, en août dernier avec les
orchestres d'Auvergne et de Manchester..)....cliquez
ici pour lire la suite et voir un reportage vidéo
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Le pianiste suédois Per Tengstrand,
donnera un concert gratuit dans le cadre de la XIIe Saison
Musicale du Musée de lArmée aux Invalides.
Premier Prix du Concours International de Piano de Cleveland,
Per Tengstrand est également lauréat du Concours
Marguerite Long et de celui de Genève. Il est, par
ailleurs, lune des plus jeunes personnalités
suédoises décorées par le Roi Karl
XVI Gustav de Suède de la médaille dor
Litteris et Artibus pour ses services rendus à lArt
Ce
superbe pianiste suédois a été
loué par le New York Times pour le merveilleux
choix du programme de son récital et pour son jeu
techniquement impeccable. Sa technique, que le Washington
Post décrit comme splendide, vigoureuse et
dune intuition sûre, est aussi pleine
de sentiments qui ravissent tous les auditoires. Son précédent
concert parisien, salle Gaveau, avait été
reçu par de longs applaudissements, nourris et chaleureux...cliquez
ici pour en savoir plus et voir un reportage vidéo
avec ce pianiste
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Dans ses réponses aux questions de pianobleu.com
le pianiste Philippe Cassard confiait il y a quelque temps
: "Schubert et Debussy restent deux compositeurs
qui m'accompagnent continuellement" et ce nouveau
disque qui s'ajoute à trois précédents
autres enregistrements qu'il a déjà consacré
à ce compositeur confirme de nouveau, combien effectivement
Philippe Cassard est attaché à la musique
de ce compositeur. Son travail pendant des années
avec la chanteuse lyrique Christa Ludwig qu'il considère
comme :" Une artiste qui a chanté Schubert
comme personne, avec une intensité, une variété
de couleurs et un naturel qui m'ont appris davantage que
bien des leçons de piano !", n'est sans
nul doute pas étranger à sa passion pour la
musique de ce compositeur. A son tour il offre une interprétation
très colorée de ces Impromptus, valorisant
les parentés de ces pièces avec les Lieder,
afin d'apporter un éclairage sur leur nature profonde....cliquez
ici pour lire la suite
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Guigla Katsarava nous offre un récital salle Cortot,
avec, au programme, les compositeurs qu'il préfère
: Scriabine - dont il en passe de devenir l'un de ses plus
ardents défenseurs et spécialiste autant qu'amoureux
- , Debussy, en parenthèse lègère et
brumeuse, et Liszt, qui tient dans son cur et dans
son répertoire une place aussi importante que celle
de Scriabine.
Héritier direct de Lev Naoumov - et par là-même,
de Neuhaus - de Lazar Berman, et de Gérard Frémy,
Guigla Katsarava nous livre sa vision personnelle de ces
uvres qu'il chérit, dans une interprétation
toujours vivante et pleine de profondeur....cliquez
ici pour lire la suite
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La pianiste Laure Favre-Kahn qui a déjà
enregistré plusieurs disques live en récital
de piano lors de concerts donnés dans le cadre des
Flâneries Musicales de Reims a eu pour ce tout récent
disque l'occasion d'enregistrer en direct avec un Orchestre
et pour cette première avec Orchestre c'est naturellement
le concerto qu'elle avait le plus joué jusqu'alors
: le deuxième concerto de Frédéric
Chopin qu'elle a choisi d'interpréter ajoutant à
celui-ci le concerto n°1 de Tchaïkovski, un compositeur
moins habituel chez la jeune pianiste qui a bien voulu répondre
à quelques questions....cliquez
ici pour lire la suite
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Ce disque est le second volume consacré à
des oeuvres de Mendelssohn enregistrée par la pianiste
Catherine Girod déjà nombreuses fois récompensée
pour ses entregistrements : deux "Grand Prix de l'Académie
du Disque Français" et le Grand Prix International
Charles Cros.
Les six Préludes et fugues opus 35 couvrent à
eux seuls dix années de composition, de 1827 à
1837. Ses pièces allient deux qualités caractéristiques
de l'oeuvre de Mendelssohn : l'art de la mélodie
et l'art du contrepoint. Le Prélude en la bémol
majeur que vous pouvez entendre (voir plus bas) en est un
très bel exemple dont Marie-Claude Girod offre une
interprétation d'une grande expressivité....cliquez
ici pour lire la suite et écouter un extrait
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A découvrir, une pièce jouée à
Lyon àç partir du 16 janvier et qui sera suivie
d'un CD :
Hôtel Chopin, c'est une entrée par l'intime
dans le génie de cet artiste unique qui a donné
à la France un caractère qui lui manquait
peut-être, la nostalgie. Une nostalgie créatrice
et non pas molle ou alanguie, une élégance
de l'âme, un art de survivre dans ces temps tumultueux.
Les mélodies, les très rares mélodies,
sont les uniques compositions pour chant d'un Chopin exilé,
irrémédiablement seul. Des mélodies
gaies ou tristes, enlevées ou martiales, composées
tout au long de sa vie sur des poèmes d'amis, des
fragments d'histoires, des images flottantes.
Cette pièce écrite et conçue par Pierre
Desmaret prend pour décor un hôtel le temps
d'une nuit, une nuit blanche pour une note bleue. Comme
le disque, le spectacle « Hôtel Chopin* »
répond à la volonté de redonner à
ces mélodies leur destination naturelle, le grand
public. En Pologne ce lien n'a jamais été
rompu, en France c'est encore un objectif impérieux.
Ce spectacle vivant permet aussi de pénétrer
comme dans un film, dans certains épisodes du «
roman » chopinien, de la Pologne des jeunes années,
au Paris romantique..cliquez
ici pour en savoir plus
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Si lors du concours international de piano Chopin de Varsovie
en 2005, le pianiste Rafal Blechacz a obtenu le premier
prix en interprétant remarquablement la troisième
sonate de Chopin, et divers autres pièces (une mazurka,
la Barcarolle...) ainsi que le premier concerto de ce compositeur,
et a d'ailleurs gagné également trois autres
prix: le Prix de la Radio Polonaise pour la meilleure interprétation
des Mazurkas, le Prix de la Société Polonaise
de Chopin pour la meilleure interprétation des Polonaises
et le Prix du Philharmonique de Varsovie pour la meilleure
interprétation du Concerto et a également
reçu la récompense créée par
Krystian Zimmermann pour la meilleure interprétation
des Sonates, ce sont les... Préludes qu'il a choisi
d'interpréter pour son premier disque ainsi que deux
nocturnes, expliquant son choix par ces propos : "
Ils sont fascinants à l'infini - ils sont tellement
divers, on y trouve tellement d'idées différentes
! J'ai cependant essayé de fondre cette diversité
dans un moule unitaire, de construire une seule entité
qui développe sa propre tension interne, sa propre
dramaturgie. Quant aux Nocturnes op.62, je les connais depuis
longtemps et pense avoir trouver une manière convaincante
de les interpréter."..cliquez
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S'il est illustré à la manière d'un
jeu vidéo virtuel, cet enregistrement est tout ce
qu'il y a de plus réel car pris sur le vif lors d'un
concert au Duc des Lombarts à Paris (d'où
le titre du disque). Est-ce dans cet esprit de jeu que Rémi
Vignolo a été choisi dans le rôle de
batteur et non de celui qui lui est plus habituel de contrebassiste,
peu importe car ses qualités rythmiques sont intactes.
Si en 2002 le disque " Exploring the music of Serge
Gainsbourg"( avec alors Rémi Vignolo à
la contrebasse et André Ceccarelli à la batterie)
avait valu au pianiste Pierre Alain Goualch une double nomination
aux Django d'Or et Victoires du Jazz, quelle récompense
mériterait ce nouvel album où l'on retrouve
"Le poinçonneur des lilas" et le
"Requiem pour un con" de ce compositeur
dans des versions beaucoup plus longues et encore plus riches
en inventions....cliquez
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L'Association Musicale Franco-Hongroise de Paris, avec
le soutien de l'Ambassade de Hongrie, présente deux
concerts avec l'Orchestre de Chambre de Hongrie(Version
symphonique : 36 musiciens), Direction : Richard WENINGER,
Piano : Isabelle OEHMICHEN,
présente des oeuvres de FARKAS, SAINT-SAËNS,
BARTOK, BIZET et Le Concertino pour piano et orchestre de
Leo WEINER, pratiquement jamais joué en France les
vendredi 1er février 2008 à 20h30 à
Paris et dimanche 3 février 2008 à 17h00 à
Épinal ...cliquez
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Le pianiste Olivier de Spiegeleir interprétera
les 32 sonates pour piano de Beethoven, au Centre Saint
Marc, à Uccle(Belgique), en 8 récitals échelonnés
de février à décembre 2008. 2008 marque
le 200ème anniversaire de la fin de la composition
d'une des plus célèbres symphonies de Beethoven,
dite du « destin » (n° 5). Parmi les monuments
qu'il nous a laissés, l'ensemble impressionnant de
ses 32 sonates pour piano a fait date, et les plus célèbres
d'entre elle - Clair de lune, La Tempête, l'Appassionata,
Les Adieux...- chantent dans toutes les têtes. Peu
de pianistes belges ont voulu s'affronter à ce massif
éblouissant d'idées et de ouleurs, qui demande
8 concerts et... des milliers d'heures de travail, pour
plus de 12 heures de musique !...cliquez
ici pour en savoir plus
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La fortepianiste Trudelies Leonhardt a enregistré
sur son pianoforte à queue de Benigmus Seidner qui
date de 1815 la quasi totalité des oeuvres de Schubert,
un de ses compositeurs de prédilection avec Beethoven.
Sur ce nouveau double album se trouve l'une des sonates
les plus connues que le compositeur réalisa l'année
même de sa mort, en 1828, et dont Trudelies Leonhardt
explique : " Elle est sereine, comme hors du temps.
Bonheur, contemplation et mystère dialoguent délicatement
dans le premier mouvement. Le mouvement lent, au thème
tragique et à la basse ostinato, s'illumine dans
la partie médiane par un thème large et chantant.
Après un silence prolongé, le thème
initial cette fois-ci accompagné dans la basse par
un frissonnement de notes hallucinant reprend. Le scherzo,
de par son ivresse de liberté , forme un contraste
bienvenu à la résignation désolée
du mouvement précédent. Le finale, qui s'ouvre
par des octaves plaquées- signal que l'on retrouve
à travers tout le mouvement- se poursuit de façon
vivement enjouée, mais aussi assombrie par des passages
véhéments , et finalement culmine en une lumineuse
jubilation"....cliquez
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Ce n'est pas seulement la coïncidence du programme
de ce disque avec le précédent disque du moment
qu'il faut relever tout d'abord dans ce disque, c'est aussi
pour l'un et l'autre de ces enregistrements la grande qualité
sonore de ces albums qui combleront tous ceux qui aiment
la musique de Brahms, le son des instruments si proche et
naturel ici offert leur donne une grande présence.
Un tel souci d'avoir une excellente qualité sonore
laisse deviner qu'il serait évidemment dommage de
se procurer ces enregistrements sous forme de mp3 compressés
qui en atténueraient cette qualité, et bien
d'autres, comme c'est souvent le cas pour la musique classique
et le jazz. Comme l'indique Tedi Papavrami dans le livret,
la qualité d'un enregistrement dépend de tous
les "artisans" concourant à celui-ci, ainsi
puisqu'il vient d'en être question, l'oeuvre de l'ingénieur
du son, en l'occurrence Jean Martial Golaz, et il y a d'abord
le compositeur qu'il place en début de liste : "Le
plus incontournable, Brahms, demeure à la fois très
présent et très lointain. Aurions-nous apprécié
sa poignée de main ? son rire ? Aurions-nous été
irrité par sa voix , fascinés par son discours
? Impossible de répondre, inversement à sa
musique, elle, inscrite dans notre chair, au point de constituer
la couleur d'une grande partie de nos vies, dans ce qu'elles
ont de plus précieux."... le compositeur
et sa musique donc, à dissocier sans doute l'un de
l'autre...cliquez
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L'association les sept vies de Philémon organise,
le jeudi 17 janvier 2008 à 21h, un concert exceptionnel
au bénéfice de l'Alliance Maladies Rares,
avec la participation de 4 pianistes exceptionnels, réunis
autour d'Alexandre Tharaud. Ce sont ainsi Alexandre Tahraud,
Eric Le Sage, Baptiste Trotignon et Jacky Terrasson qui
offriront diverses oeuvres (ou variations jazz) de Maurice
Ravel en solo et duo...cliquez
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L'Oreille de Dauphine, association étudiante de
l'Université Paris Dauphine organise le 20 décembre
prochain la cinquième édition du Dauphine
Jazz Festival. Pour l'édition 2007, ce n'est pas
un, mais deux grands pianistes de jazz que l'association
accueille, ainsi que le piano à queue qui les accompagne...
En effet, un public averti ou curieux est invité
à venir assister à une soirée de jazz
pas comme les autres, dans une ambiance bon enfant et associative,
avec au menu le groupe Trankilesha puis deux grandes figures
du jazz européen : Laurent de Wilde Trio et
Bojan Z. Deux styles, deux passions devraient ainsi
attirer les paires d'oreilles en ce jeudi 20 décembre
2007....cliquez
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L'Association du Méjan organise un week-end Messiaen
les 20 et 21 janvier 2008 à la Chapelle du méjan,
Place Massillon, en Arles.
Ces deux concerts, qui permettront de retrouver des musiciens
tels que les pianistes Marie-Josèphe Jude ou Michel
Béroff, s'inscrivent dans la célébration
du centenaire de la naissance de Messiaen en 2008 et dans
notre saison 2007-2008 de Matinées et Soirées
Musicales d'Arles.
L'oeuvre d'Olivier Messiaen (Avignon, 10 décembre
1908 - Paris, 27 avril 1992) trouve ses sources dans une
profonde ferveur catholique, un goût prononcé
pour les musiques anciennes et les rythmes exotiques, et
dans une étude scientifique approfondie du chant
des oiseaux. Messiaen fut un compositeur particulièrement
hardi, innovant tant dans le domaine harmonique et mélodique
(modes à transposition limitée, sérialisme
intégral) que dans l'instrumentation (gamelan, ondes
Martenot) et l'utilisation toute particulière de
la couleur musicale. Le Méjan propose, pour le centenaire
de sa naissance, deux de ses oeuvres majeures, le Quatuor
pour la fin du Temps (1940) et les Vingt regards sur l'Enfant
Jésus (1944)...cliquez
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Hasard des parutions.... le prochain disque du moment
sur pianobleu.com contiendra la Sonate pour violon et piano
n°1 de Brahms or c'est ici avec l'arrangement qu'en
fit le compositeur pour le violoncelle et piano que la violoncelliste
Sonia Wieder Atherton et la pianiste Imogen Cooper terminent
ce double album au généreux programme. Mais
on peut parfois s'autoriser à écouter les
choses dans tout ordre d'ailleurs n'est-ce pas parfois l'écoute
d'un arrangement qui conduit à l'écoute de
l'oeuvre originale, cependant l'inverse est aussi vrai...
On ignore souvent ce qui conduit un compositeur à
choisir tels instruments plutôt que d'autres lorsque
son inspiration se met en oeuvre, de même que l'on
ignore aussi très souvent la source même de
l'inspiration à l'origine d'une oeuvre. Ainsi l'idée
de réunir Brahms et Bach pour cet enregistrement
est parti du constat de Sonia Wieder Atherton qu'il y avait
comme une ressemblance entre le premier thème de
la Sonate opus 38 de Brahms et un passage de l'Art de la
fugue de Bach....cliquez
ici pour lire la suite et en écouter un
extrait
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Composée dune douzaine de musiciens chevronnés,
Le Limonest Swing Band, jeune formation lyonnaise connaît
depuis deux ans un nouvel essor, en sappuyant sur
un effectif largement renouvelé.Ce sont ces expériences
musicales riches et variées qui confèrent
au groupe une véritable originalité stylistique
et une grande aisance dans une multitude de registres.
Vous pourrez découvrir un répertoire original
associant la tradition du swing, blues, et du gospel
de
Charlie MINGUS à Thelonious MONK, toute lénergie
musicale est sous tendue par une passion commune
de la musique noire nord - américaine.
Avant les fêtes de fin dannée, lorchestre
invite le pianiste toulousain Philippe Lejeune : un concert
placé sous le signe du Boogie, du Blues et du Swing...cliquez
ici pour en savoir plus
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En écrivant le livre de son parcours, la pianiste
Zhu Xiao-Mei a voulu écrire pour ceux qui ont été,
comme elle, victime de la révolution culturelle mais
aussi raconter son expérience extraordinaire d'avoir
eu la chance de vivre en Chine, puis aux États-Unis
et enfin en France. Une expérience dont elle a retiré
une leçon de vie essentielle à ses yeux :
"il est nécessaire de mélanger les
cultures, de les faire dialoguer". En ce qui la
concerne le dialogue s'établit entre ses deux maîtres
à penser l'ayant aidée à surmonter
les épreuves passées : Bach et Lao Tseu, dont
elle souhaite aussi à travers ce livre faire partager
l'admiration qu'elle a pour eux. Vous voilà donc
prévenu : il est fort possible qu'après avoir
lu cette autobiographie vous (re)plongiez dans l'écoute
des Variations Goldberg, et soyez tentés de lire
le Tao Tö King de Lao Tseu , car Zhu Xiao-Meï
sait partager cette musique et pensée avec des propos
très touchants et convaincants, tout autant que ses
interprétations émeuvent...Cliquez
ici pour lire la suite
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Imaginer la pianiste Zhu Xiao-Mei lors de son séjour
en camp de rééducation, pendant la révolution
culturelle, recopiant en cachette les partitions du clavier
bien tempéré et le jouant en faisant croire
qu'il s'agissait de musique officielle chinoise suffit à
comprendre combien cette oeuvre peut représenter
pour elle... oeuvre parfois appelée la "bible"
du pianiste, elle fut en tout cas force de réconfort(elle
lui réchauffait même les doigts lorsqu'elle
la jouait dans une pièce de la chaleur d'un frigo
!) et surtout "musique de bonheur, et du bien"
elle contribua à ouvrir les yeux de Zhu Xiao-Mei
et à comprendre que cette musique avait une capacité
à lui rendre courage, à la rendre heureuse
et à lui faire retrouver sa dignité. Aujourd'hui
la pianiste offre en premier lieu son interprétation
du second livre parce qu'il a toujours été
tenu dans l'ombre du premier livre et qu'il mérite
lui aussi d'être mis en avant, selon ses propos dans
l'interview publiée dans le livret qui accompagne
les deux CD...cliquez ici
pour lire la suite et en écouter
un extrait
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Etonnant voyage avec Ferenc Vizi, Florent Boffard et Emmanuelle
Swiercz dans le monde de la musique de piano... Durant ces
trois heures de musique, des uvres phares du répertoire,
comme les Miroirs de Ravel, Carnaval de Schumann, Wanderer-Fantaisie
de Schubert, partageront l'affiche avec des pièces
moins célèbres mais tout aussi importantes
comme la Sonate op.27 de Beethoven ou l'ouverture de Tannhäuser
de Wagner transcrite pour le piano par Liszt.
Le Théâtre a souhaité Les Classiques
d'Auxerre ouverts à la musique du XXe siècle.
Debussy sera donc à l'honneur du concert central,
qui le restituera comme la figure pionnière du piano
moderne....cliquez
ici pour en savoir plus
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© pianobleu.com ---- contact :
- Agnès Jourdain
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