Les nouveautés sur le site (archives)
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Éric TERUEL est né le 31 Mars 1970 à
Bourgoin Jallieu (Isère)..."Ville de rugby,
moins de musique !". Ses parents n'étaient
pas du tout musicien, par contre c'est grâce à
sa sur aînée, aujourd'hui pianiste classique
installée à Vienne (Autriche) qu'Éric
Teruel se compare un peu, selon ses propos, à ..."l'Obélix"
du piano, tombé dedans tout petit. Enfant, j'entendais
Véronique répéter, et dès la
fin de ses exercices je prenais sa place tout naturellement
! Nous sommes une famille de quatre enfants, je suis le
dernier, et mes deux frères étaient aussi
musiciens. L'apprentissage ne m'a donc jamais été
imposé, bien au contraire ! Je crois franchement
m'être dit vers cinq ou six ans que j'en ferai mon
métier suite à un concert de György Cziffra,
qui m'avait fortement impressionné !".
Dès l'âge de cinq ans, Éric TERUEL prend
ses premières leçons auprès d'une merveilleuse
dame de son village : Madame HUET, qui donnait quelques
leçons gratuitement, par pur plaisir :"De
nos jours cela semble impensable.., et pourtant, elle n'avait
qu'un seul désir, faire passer sa joie pour la musique
aux petits enfants qui venaient chez elle, elle était
d'une gentillesse incroyable, il y avait une bonne odeur
de bois chez elle, et toucher son piano à queue était
déjà une récompense, je sentais comme
elle était heureuse d'entendre nos petits morceaux
résonner sur son instrument ... Il y avait ces mercredi
après midi festifs, où nous jouions nos morceaux
devant les parents, puis nous allions nous amuser dans son
jardin ... Pour moi ce sont des souvenirs doux, ces souvenirs
qui vous donnent la pêche quand vous en avez besoin
... En tout cas, une chose est sûr, elle savait naturellement
faire aimer la musique, et le piano bien entendu."...cliquez
ici pour lire la suite
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Il n'est pas toujours facile pour les musicologues de
donner avec précision la date de composition des
oeuvres, notamment parce que la publication peut en être
éloignée. Ainsi, selon les notes du livret
de ce disque, il parait que pendant de nombreuses années
on a pensé que les sonates K330-332, publiées
en 1784, dataient du voyage de Mozart à Paris en
1778, mais une étude de l'écriture de Mozart
a révélé qu'elles ne peuvent avoir
vu le jour à ce moment là, et l'analyse du
papier sur lequel sont notées les sonates le confirmerait.
...cliquez
ici pour lire la suite de l'article
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Les tout premiers envols de Jazz à Venir, les révélations
2006 de Jazz à Porquerolles, se dérouleront
les 5 et 6 Mai 2006 au théâtre Denis et donneront
à tous les musiciens des régions du Grand
Sud* la chance de faire entendre leurs créations....cliquez
ici pour en savoir plus
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Sixième édition du festival
de musique classique dhiver à Gstaad :
Un programme de toute beauté attend
les mélomanes cet hiver. Pour les concerts du soir,
les sixièmes Sommets Musicaux accueilleront à
Gstaad des stars comme la mezzo-soprano Waltraud Meier ou
le grand pianiste brésilien Nelson Freire. Dans le
cadre des concerts de laprès-midi, sept jeunes
pianistes se présenteront en récital.
« Concerts du soir » en lEglise de Saanen
Le pianiste brésilien Nelson Freire est lun
des interprètes les plus demandés de notre
époque. En 2002, il a été élu
«Soliste de lannée» aux «Victoires
de la musique». Freire a choisi pour le concert douverture
des Sommets Musicaux la Barcarole de Chopin, une oeuvre
relativement tardive, et le Nocturne op. 62. En Intermezzo,
Freire se plonge dans le Carnaval op. 9 de Schumann....cliquez
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A découvrir cette biographie romanesque de Claude
Samuel qui vient de paraître le 17 février
2006 .
Pianiste prodige, compositrice de talent, pédagogue
sévère, amoureuse passionnée, muse
dévouée, mère de famille tourmentée...
Clara Schumann fut tout cela, et bien plus encore.
De son enfance éblouissante, saluée aussi
bien par Goethe que par Paganini, jusqu'à la gloire
de son grand âge, célébrée à
travers toute l'Europe et par ses têtes couronnées,
l'existence de Clara fut dédiée à son
métier de musicienne. Celle qui fut la plus grande
virtuose de son siècle côtoya tout ce que l'époque
comptait de génies : Mendelssohn, son complice de
multiples concerts, Chopin, qu'elle joua dès sa jeunesse,
Liszt, qui la fascina et l'exaspéra, Wagner, enfin,
dont elle détestait les compositions. ...cliquez
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Communiqué
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Jean-Marc Luisada sera remplacé par le pianiste
David Saliamonas dans le concerto de Grieg le 14
mars à la Salle Gaveau, avec l'Orchestre Romantique
Européen dirigé par Lionel Stoleru.
David Saliamonas est, dans la nouvelle génération
de pianistes, lun des plus expressifs, et lune
des personnalités les plus attachantes.
Né à Chicago, il a débuté
le piano tout seul à lâge de cinq ans.
Il est diplômé de la Manhattan School of Music
où il était lun des rares élèves
du grand Eugene Istomin, qui le considérait comme
« un virtuose et un musicien merveilleux ».
Il est lauréat de plusieurs concours nationaux et
internationaux dont lAnderson International Piano
Competition (Seattle), le Five Towns Competition (New York),
le Grand Prix dIbla (Italie), ainsi que le Chopin
Foundation Scholarship Prize. Il a aussi étudié
la direction dorchestre, notamment à Salzbourg,
avec Hans Zender, et à Budapest, avec Yuri Simonov....cliquez
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Le mardi 7 mars 2006 à 20 h 30, le pianiste jazz
Stephan Oliva donnera à la Chapelle du Méjan
un concert piano solo à l'occasion de la sortie de
son album Coïncidences en hommage à Paul Auster.
Le pianiste Stephan Oliva, déjà auteur et
interprète de musiques de films tel "Froid comme
l'été"de Jacques Maillot, a l'expérience
de faire coïncider images et musique. Sensible aux
atmosphères, il a cette fois eu l'idée de
transposer en musique l'univers littéraire de Paul
Auster, l'un de ses écrivains contemporains favoris.
Il n'est pas question pour lui de réaliser ici la
musique d'un livre particulier mais une "musique de
livres" : transformer en sons quelque chose qui vient
de la "trace des mots", telles des empreintes
sur les mondes intérieurs.
Cliquez ici pour
en savoir plus sur Stephan Oliva, ce récent disque
et ce concert
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Ce sont les vacances scolaires : profitez-en pour vous
essayer à de nouveaux styles musicaux, ainsi avec
ce tout nouveau recueil. Celui-ci regroupe des pièces
originales qui requièrent techniquement un niveau
3 (c'est à dire environ une pratique minimum de cinq
à six ans de piano) mais sans doute faut-il musicalement
une connaissance plus développée car elle
demande un grand sens de l'improvisation.
Ce "passeport pour l'imaginaire" est
réalisé par Gérard Moindrot, professeur
de piano à Paris et conférencier à
la Maison des Conservatoires, et qui professe un enseignement
du piano ouvert et créatif orienté autour
du plaisir de jouer et de l'épanouissement de la
personnalité....cliquez
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Il y a de fortes chances que vous connaissiez le thème
musical du célèbre feuilleton américain
"Mission impossible", car c'est assurément
un générique que l'on n'oublie pas après
une seule écoute en raison de sa rythmique très
caractéristique. Par contre, il est moins sûr
que vous ayez mémorisé le nom de son compositeur
mais vous l'aurez bien sûr deviné , par l'objet
de cet article : il s'agit de Lalo Schifrin. Cela dit par
la lecture de ce ce tout premier livre qui lui est consacré
vous découvrirez aussi probablement qu'il y a bien
d'autres musiques que vous connaissez de ce compositeur.
Georges Michel, musicien et musicographe, auteur de ce livre,
est considéré par Lalo Schifrin comme le meilleur
spécialiste de son oeuvre, tous genres confondus.
Il a pu s'entretenir de nombreuses heures avec lui, à
Beverly Hills, en mai 2003 et en délivre aujourd'hui
un compte-rendu très précis, intéressant
et distrayant....cliquez
ici pour lire la suite
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Intitulé " Piano Sonatas" ce disque regroupe
en fait quatre Sonates pour piano, et les Variations en
fa mineur mais dont la partition manuscrite originale, est
intitulée « Sonata», une copie parue
la même année porte en sous titre « un
piccolo divertimento », et la première édition
(en 1799 soit 6 ans plus tard) porte enfin la mention «
Variations », pleinement justifiée par la forme
de uvre, et sous laquelle elle est passée à
la postérité. Le thème est un andante
en deux parties composé par Haydn lui-même.
Les variations restent dans l'ensemble peu gaies, très
mélancoliques même et de caractère romantique....cliquez
ici pour lire la suite de l'article
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Le qualificatif d ' "Internationale" avait été
pour l'occasion ajouté au nom de la Cité des
congrès de Nantes qui accueillait pour la douzième
fois La Folle Journée de Nantes, sous le thème
"L'Harmonie des Nations - L'Europe Baroque " .
Les huit salles de concert avaient aussi pris des noms de
personnalités marquantes de chaque nation à
cette époque: rois, reines... plus de cent mille
personnes s'y sont croisées en bonne harmonie.
En l'occurrence, le public amateur de piano a surtout "séjourné"
dans un "domaine français" hormis quelques
fugues dans la salle João V, puisque c'est essentiellement
dans la salle Louis XIV, une des plus grande salle, que
se produisait la plus grande majorité des pianistes,
du moins vendredi et samedi.
A lire un article sur la Folle Journée de Nantes
2006, comportant une interview du jeune pianiste Jean-Frédéric
Neuburger...cliquez
ici (Piano bleu)
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D'origine polonaise, Karol BEFFA est né le 27 octobre
1973 à Paris, dans une famille pas particulièrement
musicienne - son père est linguiste et logicien,
sa mère mathématicienne de formation, linguiste
et ethnologue de profession - mais mélomane : "Mes
parents ont fait 10 ans de piano et j'ai eu un grand oncle
'homme-orchestre' amateur". Il débute enfant
acteur entre sept et douze ans : "Comme j'étais
assez turbulent, une institutrice avait suggéré
que je prenne des cours de théâtre. Mon troisième
téléfilm a été celui de MOZART
et j'en ai fait beaucoup ensuite. Ce feuilleton m'a
donné envie d'être compositeur car j'étais
obligé de noircir des portées devant la caméra.
Je me suis sans doute pris au jeu." Il aurait pu
poursuivre dans la voie d'acteur puisque, outre son interprétation
de MOZART à huit ans dans le téléfilm
de Marcel BLUWAL, Karol BEFFA cumule ensuite nombreux rôles
où il côtoie de grandes vedettes du cinéma
: "Dans le film de Peter Kassowitz, " Dans
la citadelle ", j'incarnais le fils du héros,
Claude RICH. Dans " Femmes de personne "
de Christopher FRANK, je jouais le fils de Marthe KELLER
- qui avait une liaison avec Jean-Louis TRINTIGNANT - et
de Pierre ARDITI. Je garde aussi un souvenir ému
de " La Septième Cible ", dernier film
de Lino VENTURA, où j'incarnais son fils."...cliquez
ici pour lire la suite de l'article
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Lorène de Ratuld, dédicataire de la troisième
étude de Karol
Beffa, interprète ici l'intégrale des
oeuvres pour piano écrites jusqu'à présent
par le jeune compositeur ainsi que l'unique sonate pour
piano d'Henri Dutilleux. Association très compréhensible
puisque la musique de Karol Beffa s'inscrit dans une tradition
française où résonnent les souvenirs
de Debussy et Ravel, ainsi que l'influence de Dutilleux.
Elle prend sa source dans des évocations visuelles
et conduit l'auditeur plus à vivre des sensations
qu'à lui évoquer des sentiments. ..cliquez
ici pour lire la suite
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A écouter la splendide voix de Louisa Bey (d'un
timbre proche de Norah Jones avec les qualités supplémentaires
d'être plus puissant et dynamique), il est certain
qu'elle a eu grandement raison d'abandonner ses études
de droit et communication pour choisir la voie du jazz,
certainement plus passionnante et où sa voix assurée
à toute sa place. Cumulant les talents d'auteur,
compositeur et chanteuse de jazz, Louisa Bey (joli nom de
scéne choisi par Isabelle Marchand en hommage à
Abbey Lincoln) a une formation en piano classique, débutée
dés lâge de 8 ans, puis a commencé
en 2002 les cours de lécole Atla et notamment
le jazz vocal se découvrant alors une passion pour
le jazz, musique qui lui permet dexprimer, et dinterpréter
les émotions qui trouvent écho en elle...cliquez
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Serge Rachmaninov
24 Préludes
Abdel Rahman El Bacha
A l'origine, un prélude a pour fonction d'introduire
à une autre pièce musicale, c'est en quelque
sorte un exercice d'échauffement improvisé
avant d'aborder une autre pièce plus complexe. Mais
certains compositeurs de la fin du 19ème siècle
en ont fait des pièces autonomes, particulièrement
Chopin qui s'inspira du "Clavier bien tempéré"
de Jean-Sébastien Bach (dont les préludes
étaient suivis de fugues) pour réaliser un
recueil(opus28) de 24 courtes pièces organisées
selon les 24 tons de l'ordre de la gamme, chaque ton majeur
étant suivi de son relatif en mineur.
Les Préludes de Rachmaninov lui-même grand
admirateur de Chopin, s'en inspirent. Les trois cahiers,
composés à plusieurs années de distance
forment un ensemble de...24 préludes : un pour chaque
tonalité, mais dans un ordre tonal plus libre, et
ceux-ci sont plus développés : d'une durée
moyenne de trois minutes alors que ceux de Chopin sont beaucoup
moins longs : certains ne durent qu'une trentaine de secondes.
Toutes ces similitudes et différences aboutissent
à une uvre très bien construite : riche
en contraste et atmosphères variées, chaque
prélude en appelle un autre, inlassablement, chaque
prélude ne serait-il pas finalement une introduction
au suivant ?...cliquez
ici pour lire la suite...
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"Avec Yvette Lefébure, ce fut une rencontre
extraordinaire, unique. Fascinée, je l'étais
et le fus jusqu'à la fin. Cet être d'exception
m'a "marquée". Elle m'a fait découvrir,
comprendre, réfléchir. Elle m'a fait entrer
dans le monde de la musique par la grande porte...".
Ces mots élogieux qui introduisaient, il y dix ans
le livre " La leçon de musique d'Yvonne Lefébure"
écrit par Yvette Carbou, montre à quel point
cette petite femme de forte personnalité, a marqué
le monde de la musique. Même si elle n'est pas ce
que certains classent parmi les "pianistes du siècle",
sans doute parce qu'elle était avant tout une pédagogue
et non une concertiste, elle mérite tout autant que
l'on prenne le temps de l'écouter jouer et parler,
avec passion et vivacité. Elle n'aimait pas qu'on
dise, qu'elle était avant tout pédagogue,
il est vrai...et pourtant les excellents pédagogues
ne méritent-ils pas tout autant, voire parfois plus
d'admiration...que certains concertistes ? . Fort heureusement,
alors que trop rares sont les pianistes classiques invités
dans des émissions 'primetime" à la télévision,
elle le fut, et pas dans une des moindres : "Le grand
échiquier" de Jacques Chancel (le 28/7/77),
dont les extraits sont retranscris dans ce DVD de plus de
2h30 de témoignages et documents d'archives, tous
aussi intéressants les uns que les autres....cliquez
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Ravel
Jean Echenoz
roman (broché).
Si vous n'êtes pas adepte des longues biographies,
voici assurément un roman (mais qui a aussi tout
de l'essai par sa richesse documentaire), qui vous en apprendra
beaucoup sur
Ravel en moins de 120 courtes pages.
Certes ne sont ici rapportés que les dix dernières
années de la vie de Ravel, depuis son bain avant
son départ en tournée aux Etats Unis jusqu'à
sa mort, mais Jean Echenoz conduit très habilement
dans les pensées profondes du compositeur, même
si le texte est à la troisième personne. L'auteur
décrit avec une simplicité et grande précision
les gestes de la vie ordinaire et extraordinaire de cet
homme , qui amène le lecteur à "partager"
cette vie avec un grand réalisme. Les images d'un
film d'une vie se déroulent ainsi sous nos yeux,
avec moult détails.. voilà aussi assurément
un très beau scénario, d'une écriture
exceptionnelle !...cliquez
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Maurizio Pollini
Chopin
Nocturnes
Depuis qu'il a remporté le Concours Chopin de Varsovie,
alors qu'il n'avait que 18 ans, la musique de Chopin fait
partie de la vie de Maurizio
Pollini, selon ses propos rapportés dans le livret
du disque. Il a d'ailleurs déjà enregistré
nombreux disques d'oeuvres de ce compositeur(cf sa biographie
dans la page qui lui est consacrée au Piano bleu
ici)
à un rythme espacé, peut-être pour ainsi
ne jamais s'en séparer définitivement. Son
dernier enregistrement qui regroupait les quatre ballades,
la fantaisie op. 49 et le Prélude dans op.45 (récompensé
d'un 10 de Répertoire (1999) et
Télérama) date de 1999.
A présent, c'est dans cette interprétation
des Nocturnes qu'il s'attache à rendre "la grandeur
d'expression et la profondeur de la pensée de Chopin".
Ces Nocturnes ont aussi fait partie de la vie de Chopin
pendant de nombreuses années puisque, leur écriture,
comme celles des marzukas, des polonaises et des valses
', s'étale sur nombreuses années (de 1827
à 1846). ...cliquez
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Prokofiev
Sonate pour piano N°1 et N°2
Suggestion diabolique
Serge Rachmaninov
Préludes n°12 et n°5
Variations sur un thème de Corelli
Jonathan Gilad
Si Rachmaninov et Prokofiev sont tous deux des compositeurs
russes du début du 20ème siècle, c'est
pratiquement une génération qui les sépare
(Prokofiev est né en 1871, 18 ans après Rachmaninov),
aussi il n'est pas extrèmement surprenant que leurs
styles diffèrent malgré ces premières
similitudes. La différence de tempérament
de ces compositeurs se retrouvent aussi dans les caractères
opposés de leurs oeuvres : Rachmaninov est un pessimiste,
introverti, dans l'héritage des compositeurs romantiques
au contraire de Prokofiev, optimiste extraverti, ouvert
à la modernité. Prokofiev a d'ailleurs toujours
revendiqué l'originalité....cliquez
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Le pianiste Laurent Wagschal porte un intérêt
particulier à la musique française, cumulé
au souhait de faire découvrir des compositeurs peu
joués, du moins à l'heure actuelle car si
la musique pour piano de Florent Schmitt(1870-1958) est
aujourd'hui négligée voire ignorée,
il a marqué la vie musicale jusqu'à la seconde
guerre mondiale aux côtés de Ravel, Dukas ou
D'Indy.
D''un caractère très indépendant, et
rude, ce compositeur qui eut pour maître de composition
Fauré et Massenet a développé un style
très personnel. Selon la présentation du livret,
rédigée par Laurent Wagschal, qui défend
avec beaucoup d'ardeur cette oeuvre, "le langage personnel
de Florent Schmitt se caractérise par une inspiration
mélodique chaleureuse, une harmonie subtile et sensuelle
ainsi qu'une grande richesse rythmique"....cliquez
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Bohuslav Martinu
Concerto pour trio avec piano et orchestre à cordes
Concertino pour trio avec piano et orchestre à cordes
Lidice - Rhapsody for viola
Trio Wanderer
Tabea Zimmermann(alto, viola)
Gürzenich Orchester Köln sous la direction de
James Conlon
Si vous jouez du piano, sans doute connaissez-vous le
compositeur Bohuslav Martinu(1890-1959), : ses études
ou encore ses danses, préludes...font partie de différents
recueils et méthodes. Mais bien qu'il ait composé
plus de deux cents morceaux pour le piano, il n'a pas, ou
peu, laissé, d'oeuvres essentielles pour cet instrument.
Le reste de son oeuvre, malgré l'importance qu'on
lui reconnait aujourd'hui, n'est à l'heure actuelle,
guère jouée en concert et cet enregistrement
vient combler une absence non justifiée...cliquez
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