Merci à Olivier Calmel d'avoir répondu aux questions
de Piano bleu pour la réalisation de cette page
Biographie commentée ...
Olivier
Calmel est né le 10 juin 1974 à Paris dans une famille
très musicienne : "mon grand-père était
le poète du village et aussi un très bon musicien (il
jouait sur un harmonium). Je crois qu'il a réussi à développer
chez mon père l'envie de faire plus, de voir plus. C'est donc
assez tôt (vers 20 ans) que mon père décide de quitter
le village et notre activité familiale, la viticulture, pour
partir à Paris et faire une carrière de compositeur. De
manière assez similaire il m'a sensibilisé très
vite à l'univers musical, en chantant tout d'abord, puis avec
le piano (4 mains, déchiffrages..). Ma première expérience
reste bien évidemment le chant, notamment dans la chorale de
ma mère, professeur en musicologie à la Sorbonne et au
CNED. Mes surs ont comme moi bénéficié de
cet univers musical, et la plus jeune est chanteuse lyrique."
.
C'est au conservatoire du 14ème arrondissement de Paris, dirigé
par son père qu'il a débuté ses études musicales,
complétées par des cours particuliers :"Dans une
famille comme la mienne, il était normal de travailler le solfège
et de commencer un instrument assez vite. Je ne sais pas bien si j'ai
vraiment choisi cet instrument. Je pense qu'il s'est imposé de
lui-même dès lors que j'ai ressenti le besoin de composer.
En revanche j'ai choisi vers 11 ans de faire de la trompette, je voulais
absolument en faire ! Et on m'a redirigé vers le hautbois.Pendant
toute la période de travail du hautbois je n'ai jamais abandonné
le piano, je composais même beaucoup et découvrais tous
les plaisirs des synthétiseurs et autres machines. J'ai commencé
aussi à jouer en groupe vers 16 ans, des répertoires de
variétés, de funk, de caf conc', tout ce que je pouvais
trouver ".
Olivier Calmel s'est intéressé au jazz tardivement (vers
21 ans), il a alors suivi des cours à l'IACP, au conservatoire
du centre en classe de jazz, et en cours particuliers d'improvisation.
Puis, par le besoin d'apprendre à vraiment écrire, il
a suivi jusqu'au Prix le cursus d'écriture musicale (contrepoint,
harmonie, forme et style, fugue, etc.) avec Dominique Rossi. Il a complété
cette formation par des cours d'orchestration avec Guillaume Conesson
au CNR d'Aubervilliers. Parrallèllement il a obtenu d'autres
diplômes dans une école d'ingénieur et une école
de commerce de Paris : "Ceci m'a permis dans un premier d'aborder
ma vie musicale dans une certaine sérénité financière,
mais pas morale ! En effet, il est difficile d'imaginer à quel
point ces milieux sont si différents ! Lorsque je précisais
que j'étais musicien on me regardait d'un air de dire 'ha ouais,
saltimbanque, quoi !'. Quand je disais aux musiciens que j'avais fait
aussi d'autres études et que je gagnais de l'argent dans d'autres
domaines il m'arrivait d'entendre des remarques pas banales aussi "
Sur ce sujet qui lui tient à cur, Olivier Calmel ajoute
avec passion :"Pourtant tout a toujours été clair
pour moi : je vis pour ma famille, pour mes potes et pour la musique
essentiellement. Le reste est secondaire. Les seules réelles
difficultés me semblent de l'ordre des barrières morales
et psychologiques : prendre le temps de bien faire les choses, de savoir
quelles sont ses priorités. Ma force est de savoir quelles sont
les miennes. Je pense que tout est possible, que nous sommes tous très
créatifs, mais qu'il faut la conscience et le temps pour en tirer
parti. J'aime cette citation de Keith Jarrett (traduction de Serge Forté
sur son site) :'Si vous pensez qu'il est impensable pour vous d'écrire
la 9ème symphonie de Beethoven. Si vous refusez de considérer
cette éventualité, alors le cocktail de vos idées
pourrait bien devenir votre plus grande expérience.'
Pour compléter sa formation, Olivier Calmel travaille l'improvisation
jazz avec Katty Roberts, Bruno Angelini, Nico Morelli, Bojan Zulfikarpasic
et Serge Forté :"Il m'arrive encore bien sûr
de faire des sessions de travail avec des pianistes tels que Bojan Z
ou Serge Forté. Chacun de ces pianistes m'ont fait travailler
des choses particulières, ont appuyé différemment
là ou ça faisait mal de manière à me faire
avancer. Ce sont tous des pianistes que j'ai choisi parce que j'aime
leur musique avant tout. J'ai enregistré la plupart de ces cours
sur MD et je me les repasse régulièrement je peux
me rendre compte du travail accompli !".
Olivier
Calmel a également eu très vite l'envie des musiques de
film :"Ma musique et mon esthétique s'y prêtent
particulièrement bien. J'ai à mon actif plusieurs musiques
de court métrage et de film institutionnel, et une de moyen métrage
('Close Up')." Ce moyen métrage dont Piano bleu a déjà
parlé à plusieurs reprises en page actualités,
fait une très belle carrière : diffusion salles et tv,
sélection Unifrance (sous-titrage du film et diffusion à
l'étranger www.unifrance.org), diffusion au Festival du polar
de St Quentin en Yvelines, au Festival de Clermont Ferrand, à
la 6ème Nuit du Film Court, au 16ème Festival Du Film
D'action Et Aventures De Valenciennes, où il remporte le Prix
de Scénario, au Festival Du Film Européen De Bruxelles
ainsi qu'au 23ème Festival du Film Policier de Cognac 2005 .
"Il s'agit de musique acoustique, en partie basée sur
les thèmes de mon disque 'Mafate', avec une orchestration assez
minimale : piano, contrebasse, percussions, guitare. C'est un vrai bonheur
de travailler avec un réalisateur comme Claude Farge car il est
non seulement très professionnel et consciencieux, mais il considère
la musique comme un élément très important et inclus
le travail de composition très tôt dans ses projets. D'autres
projets sont en cours, notamment un autre court pour la production Butterfly
(qui a produit 'Close Up') et un long métrage avec Claude Farge"
Dès le 13 mai 2005, il sera possible de découvrir sa dernière
composition destinée au projet "la patate chode" sorte
de chaîne faisant intervenir en alternance réalisateur et musicien (diffusion
le 13 mai au Forum des images à Paris)..."C'est une musique
assez simple, ambiant, avec un thème au piano et le reste aux
machines."
Ce n'est là qu'un des multiples projets d'Olivier Calmel, dont
le champ de composition est très vaste : "Je suis avant
tout compositeur. Il se trouve que le jazz est un domaine musical où
l'improvisation, que j'affectionne particulièrement, est très
présente. Mais je me sens esthétiquement plus proche de
musiques du 19ème et 20ème siècle du répertoire
classique que de certains répertoires jazz. J'ai aussi la chance
de pouvoir, dans certains contextes de création contemporaine,
composer des musiques écrites pour formation de chambre, notamment
pour le trio les Achromates (voix, flûte, accordéon). Une
sonate pour deux pianos a également vu le jour à la demande
de deux pianistes. C'est une musique totalement écrite dans ce
contexte, mais qui se prêterait très facilement au jeu
de l'improvisation. De nombreuses mélodies pour piano font également
partie de mon répertoire."
En parallèle, Olivier Calmel donne en moyenne un concert par
semaine soit avec ses deux formations (Quartet et Seth), soit avec d'autres
formations. Un concert à venir lui tient particulièrement
à coeur :"Le prochain concert sur lequel je travaille
beaucoup est celui qui aura lieu pour la sortie officielle de 'Mafate'
le jeudi 2 juin 2005 au Sunside (Paris). C'est un concert évènement
ou il y aura plusieurs invités en plus de la formation de base
(quartet : piano, alto, contrebasse, batterie). On y présentera
les thèmes du disque en 1er set, puis de nombreux nouveaux thèmes
sur le reste du concert en quelque sorte un avant goût du
prochain disque ".
Les musiciens qui ont travaillé avec Olivier Calmel pour ce projet
se sont 'imposés' d'eux-même explique-t-il : "
Frédéric Eymard avec qui je travaille depuis longtemps
sur divers projets, pour ses esthétiques et qualités musicales
bien sûr, pour l'instrument que je connais bien et qui est assez
peu courant dans le jazz. Bruno Schorp, contrebassiste avec lequel j'ai
beaucoup d'affinités musicales et qui est très créatif,
ainsi que Jean Wellers un virtuose qui m'a aidé à dépasser
certaines limites, à pousser la 'machine'.Et bien sûr Karl
Jannuska qui, dès son arrivée dans la formation a parfaitement
compris le répertoire, en a tiré le meilleur parti, et
a offert toute sa connaissance et sa musicalité à l'ensemble
du projet. Toutes ces qualités ne seraient pas grand chose sans
l'essentiel : les qualités humaines de chacun de ces musiciens,
individualités et forces pour le groupe, personnalités
et disponibilité, envies de partage." 'Mafate' est un
disque très personnel qui dévoile beaucoup de facettes
de sa musique : "je compose beaucoup sur des paysages, de couleurs,
c'est une musique assez impressionniste, parfois énergique parfois
évocatrice ou simplement contemplatrice".
Déjà de nouveaux disques se profilent à l'horizon
:" Avec mes deux formations personnelles, je suis engagé
avec une nouvelle structure (label) pour le quartet qui me permettra
d'envisager un nouveau disque dans des délais raisonnables, ainsi
qu'un projet d'enregistrement avec Seth d'ici à septembre prochain'. Tout cela lui laisse peu de temps à consacrer à son
loisir favori qui s'avère en fait rejoindre son activité
habituelle :" Je suis cinéphile ! Mes films cultes
: Brazil, la crise, Murder by death, le seigneur des anneaux, Victor
Victoria, American history X, Fight club en fait il y en a trop
! Quand je regarde un film cela se passe comme lorsque j'écoute
de la musique : il y a l'attitude 'passive' et l'attitude d'analyse
'active' de la musique et de nombreux autres paramètres. Cela
m'aide à comprendre le travail des autres, le répertoire,
et donc à mieux faire avancer le mien dans une direction affirmée
et personnelle"...mais il est vrai que la tâche ne lui
fait pas peur puisque Olivier Calmel termine l'échange en confiant
: ""Pour moi le moteur dans la musique est l'envie ! Comme
dans le sport : l'envie de se dépasser." ( réalisé en 2007)
Nouveau : Mai 2007 : sortie du disque "Empreinte" à découvrir plus bas...
Nouveau : Mars 2012
A
écouter un extrait de la musique d'un nouveau projet de spectacle
musical écrit et mis en scène par Olivier Cohen
sur une musique originale d' Olivier
Calmel et de Tam de Villiers
interprété par Philippe Canales
CINEMATICS
Les Notes bleues
Un personnage entre en scène, se raconte, sinvente ...
Recherche didentité, introspection, découverte de
soi deviennent alors les thèmes que cette histoire simple veut
explorer.
Des thèmes qui prennent finalement tout leur sens lorsquon
rapproche des obsessions « jazzistiques ».
figurer les passions humaines, l'imaginaire, la violence, les beautés
de la vie ?
Le dialogue, la fusion entre voix et musique ouvre, par sa simplicité,
sa densité, les portes de nos imaginaires.
En forme de ciné-concert, le projet CINEMATICS vise à
utiliser toutes les ressources du récit musical pour parler à
l'esprit et aux sens.
"Si lécriture de contes ou de récits musicaux
mest rapidement apparue comme une nécessité artistique,
il ma semblé primordial de dépasser la simple présentation
dun genre musical ou dun instrumentarium. Lintérêt
du récit devait plutôt tenir à sa capacité
de rendre compte de la densité et de la spécificité
dune pratique particulière, son essence.
De manière finalement assez empirique, jai toujours voulu
décrire ce qui nous amène à créer, ce «
presque rien » qui change tout dans nos vies, quon le nomme
sensibilité, imaginaire, rêve Dans le cas du jazz,
une telle démarche simpose dautant plus quon
se confronte à un genre qui ne peut se dissocier
déléments aussi fondamentaux que linspiration,
lexpression, limprovisation.
Pour les Notes bleues, se sont peu à peu imposés une intrigue
et un personnage des plus ordinaires. Un homme dépassé
par ses émotions, se trouve soudain incapable de supporter le
vacarme qui lentoure. Sans quil sache pourquoi, il séveille
un matin blessé par le moindre bruit de son ancien univers ;
il doit alors abandonner son travail, ses habitudes, le petit monde
auquel il était habitué jusquelà pour senfermer
à double tour chez lui. Il comprend alors pourquoi son existence
a tant changé. Malgré lui, il cherche à retrouver
un sens, une force qui puissent ordonner son existence . Recherche
didentité, introspection, découverte de soi deviennent
alors les thèmes que cette histoire simple
veut explorer. Des thèmes qui prennent finalement tout leur sens
lorsquon les rapproche des obsessions « jazzistiques ».
La mise en scène dun tel texte passe dabord par la
recherche dune symbiose entre récit et composition. La
musique ne peut seulement constituer une illustration, elle doit avoir
un rôle dramatique.
Elle précède le verbe et génère la narration,
elle surprend, organise, permettant linvention de la parole..
Parfois, elle joue un rôle inverse de suspension en quelque sorte,
un peu comme si elle offrait son territoire onirique, devenant pensée,
émotion.
Par ailleurs, la magie du récit musical tient à sa simplicité,
sa crédibilité figurée. Un personnage
entre en scène, se raconte, sinvente. Dune certaine
manière, il nest plus que confidences,
souvenirs. Le travail scénique consistera à radicaliser
cette impression en jouant de lespace intime du club de Jazz,
devenant en quelque sorte un espace mental. Les mouvements gagnant,
par leur stylisation, un fort potentiel métaphorique ou évocateur.
"
Olivier Cohen
Pour en savoir plus...cliquez
ici
Nouveau novembre 2015 : Nouvel entretien à l'occasion de la sortie du disque "Contes russes " à découvrir dans paragraphe Ecouter...
Ecouter... et jouer !
" Contes Russes "
conté par Pierre Arditi
Le déserteur et le diable
Nikita le marchand
Sac à malices
Cosma le riche
L'oiseau de feu
Musique par Olivier Calmel
Adaptation et réalisation
par Olivier Cohen
Vincent Peirani, accordéon
Olivier Calmel, piano
Johan Renard, violon
Clément Petit, violoncelle
Frédéric Soule, percussion
Hasard, voici à découvrir un disque que l'on peut rapprocher encore des deux précédents disques du moment, car il réunit cette fois texte et musique, et s'adresse tant aux enfants de six à dix ans qu'aux " moins jeunes auditeurs" selon l'éditeur ( Frémeaux et associés) et selon le compositeur, orchestrateur et pianiste Olivier Calmel qui signe la musique "on peut presque dire que c'est une musique de film" puisqu'il a travaillé comme cela se fait souvent en musique pour l'image, ainsi l'explique-t-il à l'occasion d'un nouvel entretien, à lire ci-dessous, où l'on découvrira aussi ses nombreux projets !
...cliquez ici pour lire la suite et en écouter un extrait.
S'il est une qualité rare et très appréciable
que possède le compositeur/pianiste Olivier Calmel c'est
assurément la générosité. Ainsi lorsqu'il
enregistre un disque de son "quartet", ce ne sont pas
trois musiciens qui l'entourent mais quatre auxquels il convient
d'ajouter quatre autres invités car le compositeur possède
univers sonore qu'il ne conçoit pas sans y mettre ... l'empreinte
de ses proches amis musiciens. De même, il n'écrit
pas sa musique avec l'objectif de mettre en avant uniquement ses
propres talents de pianiste mais, comme le remarque Didier Lockwood
dans son texte de présentation sur le disque, il offre
par exemple "un contexte musical qui met en valeur les
immenses qualités de l'altiste Frédéric Eymard"
, il est vrai que l'utilisation du violon alto est remarquable
car extrêmement rare dans le jazz, les autres instruments
ne sont cependant pas en reste non plus, ainsi l'accordéoniste
Vincent Peirani , le saxophoniste Christophe Panzani sont aussi
très remarquables pour n'en citer que quelques-uns. Mais
chaque musicien a bien sûr une place importante, comme le
montre les propos du leader sur la composition de son quartet
...cliquez
ici pour lire la suite
Mafate
Olivier Calmel
[ Quartet]
Nouveau(02/2006) : Dans un courrier adressé par
le label Musica Guild, j'apprends avec un plaisir partagé
avec Olivier Calmel, je cite : "Nous estimons comme vous
, la qualité de ses créations, c'est pourquoi nous
reprenons cet enregistrement afin de lui donner une plus grande
diffusion". Bravo donc à Olivier Calmel qui m'apprend
par ailleurs qu'il vient de recevoir une proposition pour la musique
d'un film de science-fiction, espérons de tout coeur que
cela se concrétisera ! Et si vous n'avez pas déjà
acheté le disque de son quartet..faites le...cliquez
ici (celui-ci a une nouvelle pochette mais le contenu reste
le même, et bravo également aux musiciens qui l'accompagnent
bien sûr : Karl Jannuska , Bruno Schorp , Frédéric
Eymard !).
Même si l'ensemble des morceaux de ce nouveau disque du
pianiste/compositeur Olivier Calmel n'est pas enregistré
par la même formation(changement occasionnels de batteur
ou contrebassiste), il n'en demeure pas moins que ce disque à
une chaleureuse couleur bien personnelle (et pas seulement sur
la pochette !) qui traduit déjà un très grand
professionnalisme du quartet mené par Olivier Calmel, quelqu'en
soit sa configuration.
Il est vrai que la présence à ses côtés
de Frédéric Eymard, au violon alto y est également
responsable pour une bonne part apportant une forte touche sonore
ensoleillée à la plupart des morceaux.
Olivier Calmel a composé plus de la moitié des morceaux
de ce disque pour la bande sonore d'un moyen métrage(26
minutes) : "Close up" dont le scénario fort original
et intéressant (puisque j'ai aussi eu la chance de le voir)
l'a grandement inspiré. Il faut dire que les rebondissements
ne manquent pas dans ce court et passionnant suspense réalisé
par Claude Farge. Ce film a d'ailleurs été sélectionné
au festival du polar de St Quentin en Yvelines et de Clermont
Ferrant. Et la musique tout comme ce petit film ne manque pas
non plus de "rebondissements" ou du moins de variations
rythmiques tout en restant très mélodique. Les amateurs
de piano, apprécieront particulièrement le 2ème
mvt de la sonate pour 2 pianos(version piano solo), "A regret",
"Piazotango" et "Mafate" où la présence
du piano est plus importante et les mélodies particulièrement
splendides. La reprise du "Rocher d'Ayers" à
la guitare 12 cordes (par Luiz de Aquino) est aussi magnifique.
Cliquez sur l'image pour vous le procurer
Voici quelques précisions données par Olivier
Calmel sur les pièces qu'il vous propose de jouer : la pièce
"Piazo tango" se situe dans le domaine musical de Astor Piazzolla,
tout en se démarquant sur certains aspects plus jazz, notamment
d'un point de vue harmonique. Elle est assez facile à déchiffrer
et très agréable à jouer !
Enfin "l'incroyable voyage du Docteur Maboul" est une farce-groovery
dont le thème passe de la main droite à la basse et comporte
des parties très stylistiquement marquées, ce qui explique
le voyage du Docteur Maboul, 'l'imbécile heureux qui sommeille
en chacun de nous' !
Partition de "Piazo Tango"
Le
fichier est à télécharger sous le format
PDF
(169 Ko c'est donc un peu long à charger...
mais cela en vaut la peine ...soyez patient)...
cliquez sur l'image
Partition de "L'incroyable voyage du Docteur Maboul"
Le
fichier est à télécharger sous le format
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(76 Ko c'est aussi un peu long à charger...
mais cela en vaut la peine ...soyez patient)...
cliquez sur l'image
Merci aux Editions Delatour
qui ont permis la publication de ces partitions
Vous pouvez vous procurer le recueil complet des compositions
de Olivier Calmel sur le site de Di-arezzo cliquez
ici
<
Retrouvez 10 partitions de Olivier Calmel dans ce recueil
Medley of jazz compositions (préface Bojan Zulfikarpasic)
(A regret, Pictures, Blues moon time, Blues for Daddy, L'incroyable
voyage du docteur Maboul, Nomade, Piazo Tango, King Luis'song,
Il palio, Variations sur un thème romantique)
Cliquez sur l'image
A voir une vidéo d'Olivier Calmel en concert
Documentaire 'Submergés - Inondations dans le
Var, déjà un an !' (52 min)
Musique originale de Olivier
Calmel. Produit en 2011 par France Télévisions