Merci à Alexis Tcholakian d'avoir répondu aux questions
de Piano bleu pour la réalisation de cette page.
Biographie commentée
Alexis
Tcholakian est né à Paris le 12 juillet 1969 et précise
-t-il...à 3h du matin "pour les amateurs d'astrologie"
ajoutant "3 heures du matin est d'ailleurs l'heure à
laquelle la fatigue se fait sentir !". Quant à savoir
s'il y avait des musiciens dans sa famille la réponse d'Alexis
Tcholakian est moins précise :"Mes origines sont assez
floues ! Du côté paternel, je ne peux remonter qu'à
la génération de mon grand-père né en Arménie,
mais je ne sais rien sur ses frères et surs, et encore
moins sur ses ascendants, le génocide perpétré
par les Turcs ayant été redoutable. Du côté
maternel, c'est encore moins clair car ma mère n'a pas connu
son père biologique mais je sais qu'il était italien.
J'ignore totalement s'il fut musicien." Par contre il confie
aussi que toute son enfance, il a baigné dans une atmosphère
musicale car sa mère sifflait, et siffle encore, du matin au
soir tous les airs de Mozart, Beethoven, Brahms " il est
apparu naturel que j'étudie un instrument ; je ne pense d'ailleurs
pas avoir choisi le piano ! Un autre instrument ? Non, mais souvent
j'accompagne mes élèves à la basse et il fut un
temps où je les accompagnais aussi à la batterie."
De son premier professeur de piano Alexis Tcholakian ne donne que
le prénom ce qui se comprend du fait de la fin brutale de cet
enseignement qui dura pourtant plus de huit ans : "De 7 ans
à 15 ans, j'ai étudié le piano avec Huguette, une
concertiste classique. Des cours austères, mais formateurs. La
technique instrumentale, la lecture et l'interprétation formaient
l'épine dorsale de son enseignement. Huguette enseignait le piano
à l'ancienne, sans trop de plaisir, me donnant une claque sur
la cuisse (la droite, je m'en souviens !) quand j'osais me tromper de
note : un rare talent de psychologue !". Professeur qu'il quitta
lorsque son attirance pour le jazz se confirma : "Depuis l'âge
de 8/9 ans, j'improvisais, et, petit à petit, à partir
du matériau utilisé, développé, dans mes
impros, je commençais à construire, à organiser
des petits morceaux, jusqu'au jour où j'ai demandé à
Huguette de consacrer le cours à la notation manuscrite d'un
de mes morceaux. Elle rechigna, mais, mue par un élan de générosité
que je ne lui connaissais pas, accepta. Très vite, elle fut contrariée
de me montrer son incapacité, réagit évidemment
de façon agressive et je compris qu'il était temps de
quitter Huguette pour étudier ce qu'est réellement la
musique : l'écriture, la composition et l'improvisation. Je partis
en claquant la porte d'Huguette, et aussi celle des études classiques"
.
Sa découverte du jazz s'est, dit-il, faite à rebours :
" Après avoir joué en autodidacte dans un tas
de styles musicaux (jusqu'à jouer en première partie de
" Iron Maiden " et " AC/DC " aux Monsters of Rock
devant 30.000 personnes !), je découvris ce qu'on nommait à
l'époque la fusion ou le jazz-rock. Entre 16 et 18 ans, j'écoutais
" Weather Report ", " Return to forever ", les "
Brecker Brother's " je compris alors que tous ces grands
musiciens étaient avant tout des jazzmen et je décidais
donc de remonter le fil de l'histoire !"
A la question de savoir quand il est devenu inéluctable qu'il
serait pianiste jazz et s'il a éventuellement envisagé
une autre activité Alexis Tcholakian répond très
longuement :" Aussi loin que je me souvienne, quand j'avais
14 ans, je voulais être kinésithérapeute ou ferronnier
d'art (voilà un beau métier qui se perd !). À 16
ans, je voulais être une star du rock (un métier moins
intéressant et qui est en expansion !) et, à 18 ans, j'ai
découvert le jazz ! J'ai tout de suite su que c'était
ma voie. Depuis l'âge de 16 ans, je savais que la musique était
ma vie, elle s'imposait à moi avec une incroyable évidence.
Inconsciemment, en me laissant happer par elle, je devais sentir une
promesse de liberté. Cette " chère " liberté,
éphémère, sporadique, mais malgré tout,
de temps à autre, incroyablement réelle ! A la question
" pourquoi le jazz " que Jean-Marc Gélin m'a posée
il y a quelques années pour son webmagazine Dernières
Nouvelles du Jazz, j'ai répondu : " Pour me sentir vivant
! la musique est une aspiration métaphysique, elle me permet
de fuir momentanément ma condition " d'oiseau mazouté
". le jazz me donne la possibilité (l'illusion ?) de lutter
contre ce mazout qui me colle aux ailes et de m'envoler vers des cieux
plus cléments, glaner des bribes de liberté ! ",
je pense que ça résume assez bien ma philosophie."
Jazzman il sera donc et pour y parvenir en 1989, Alexis Tcholakian
suit les conseils du guitariste Manu Pekar avec lequel il a étudié
l'harmonie pendant deux ans : il part étudier au « Berklee
College of Music » à Boston..."L'époque
de " Berklee ", c'est mes vingt ans ! L'insouciance, la vie
devant soi, l'arrogance de l'âge, l'aventure. Berklee est une
structure incroyable comme il n'en existe pas chez nous. J'ai côtoyé
des musiciens fabuleux comme Kurt Rosenwinckel, Joshua Redman, Mark
Turner, Antonio Hart j'ai pris un cours assez déstabilisant
avec Danilo Perez, joué avec Mathew Garrison. Berklee m'avait
octroyé une très bonne bourse d'étude, je me suis
donc enfermé dans le campus pour travailler. Mais, j'avais le
mal du pays comme on dit, j'étais trop jeune, je pense, alors
j'ai profité des vacances d'été, en 1990, pour
rentrer à Paris et pour y rester ! En réalité,
les structures ne sont pas faites pour moi, je suis trop individualiste
et " Berklee " ne devait pas déroger à la règle
!"
De retour en France, Alexis Tcholakian étudie lharmonie
avec Bernard Maury et devient son assistant à lEcole Supérieure
de Jazz :"Bernard a été "la" rencontre
musicale. Il a été mon " maître ", le
seul que j'ai eu. Bernard était un " puit de sciences "
et il partageait avec une humanité, une générosité,
une partie de son immense savoir. Il m'a appris beaucoup durant les
deux ou trois années où j'allais le voir assez régulièrement
chez lui à Courbevoie ; harmoniquement bien sûr, mais aussi
sur le plan humain. J'avais 21 ans et il représentait pour moi
une figure paternelle, musicalement bien sûr ! j'avais beaucoup
d'affection pour lui et je crois pouvoir dire que c'était partagé.
Souvent, il me manque."
On peut lire dans la biographie d'Alexis Tcholakian qu'il a été
Finaliste du «Concours de la Défense»1998 mais il
confie... "ça ne m'a pas apporté grand chose !
Je n'aime pas les concours, la notion même de compétition
est en décalage avec ce qu'est la musique. La musique n'a aucun
rapport avec une performance sportive ou autre. "
A son tour Alexis Tcholakian a enseigné par la suite dans des
écoles privées et des conservatoires, dirigé l'école
de musique " Paris Jazz School ": "D'une façon
idéaliste (quand on est jeune, on est idéaliste ou alors
c'est qu'on est déjà vieux !), le partage des connaissances,
l'éducation, faisaient partie de mes priorités. La flamme
était grande et j'ai appris beaucoup en enseignant, autant en
réfléchissant à la manière d'aborder, d'expliquer,
un phrasé, une règle harmonique qu'à appréhender
un profil psychologique. J'apprends toujours, bien que la flamme, depuis,
ait quelque peu diminuée, l'âge peut-être ! Ce qui
est, et a toujours été, au cur de mes préoccupations
avec mes élèves, c'est le plaisir. Transmettre du plaisir,
apprendre à trouver du plaisir, se faire plaisir avec la musique.
Et comme le plaisir marche de pair avec une certaine rigueur dans le
travail, vous imaginez bien que ce n'est pas toujours facile !"
il a aussi réalisé deux vidéos pédagogiques
: "J'ai accepté ce projet de vidéos pédagogiques
car je voyais là un moyen de mettre des idées au clair
et aussi de toucher un public différent de celui des écoles
et conservatoires. La première " Approche du jazz au clavier
" pose les bases des intervalles, de la genèse du système
majeur, des principales cadences simples et composées La
deuxième " Improvisation jazz au clavier " propose
des pistes de travail sur des mouvements harmoniques, des morceaux en
trio, l'étude des tensions harmoniques, des techniques d'improvisation
Je crois qu'environ 1000 exemplaires ont du être vendus depuis
1995. Elles s'adressent donc sans doute à une frange minime de
la population !"
Alexis Tcholakian, pour qui le concert à venir est celui qu'il
a toujours le plus à coeur, donne nombreux concerts en Europe,
il a joué avec Manu Pekar, Guillaume Dommartin, Xavier Bornens,
Pascal Mulot, Patrick Rondat, Alain Grange, Sacha Bourguignon, Claude
Mouton, Benoit Raffin, J.Paul Adam, Abed Azrié, Hidehiko Kan,
Déborah Tanguy "Je donne environ une cinquantaine
de concerts par an. Je n'ai pas de lieu de prédilection et jouer
le plus souvent possible et dans le plus d'endroits possible est évidemment
vital, dans tous les sens du terme ! Je pense que mes meilleurs souvenirs
de concerts tiennent plus à la nostalgie du lieu qu'aux concerts
eux-mêmes. Je les situe au défunt " Petit Opportun
", mais il y en a plein d'autres ! Quant aux mauvais souvenirs
? ils sont liés cette fois-ci non pas au lieu, mais à
la forme, à la prestation du moment ; il y en a quelques-uns
aussi ! "
Ses compositions, son inspiration....
Nombreuses
sont les références de pianistes jazz que citent Alexis
Tcholakian : Bill Evans :"pour sa richesse harmonique, le phrasé,
le placement rythmique, sans oublier le compositeur ", Keith
Jarrett : "pour le lyrisme, l'articulation, la prise de risque
! un des plus grands improvisateurs vivants" , Art Tatum :
"parce que c'est dieu le père ! le plus grand technicien,
d'une " modernité " hallucinante, rythmiquement époustouflant,
un swing ravageuret un tas d'autres superlatifs !"
auxquels s'ajoutent Herbie Hancock, Ahmad Jamal, Lennie Tristano, Hank
Jones, Kenny Kirkland, Mulgrew Miller, Tommy Flanagan, Bud Powell, Ray
Briant, Thelonious Monk, Jackie Byard, Winton Kelly, Phineas Newborn
Jr, Oscar Peterson, Mc Coy Tyner, Tete Montoliu
Quant à savoir si d'autres styles de musique sont à la
source de son inspiration il hésite :"Essentiellement
la musique classique je crois. De Jean Sébastien Bach à
Alban Berg en passant par Chopin, Schubert, Ravel, Stravinsky, Varèse
le répertoire classique est d'une telle richesse ! En réalité,
je ne suis pas sûr que ces influences " transpirent "
réellement dans mon jeu, en tout cas, pas de façon consciente,
mais toute cette musique me fait rêver, me fait exister.' En
fait il considère que la source d'inspiration principale de
sa musique "où domine un côté mélodique
avec un penchant romantique" est : "la rêverie,
mais aussi mes enfants, mes lectures, mes rencontres, l'amour bien sûr.
Tout bon musicien, toute bonne musique m'apporte de la matière.
J'ai aussi un grand besoin d'être confronté à mon
propre néant ! !"
A la question de savoir comment il travaille Alexis Tcholkian répond
: "Pour le travail de l'instrument, tout dépend des périodes.
A certains moments, je travaille beaucoup (entre 4 et 8 heures par jour)
et à d'autres où il m'arrive de ne pas toucher mon piano
pendant des jours, voire des semaines ! Quand je suis dans une période
de travail, comme actuellement, je décompose mon temps en plusieurs
points répartis sur 3 à 4 heures de jeu. Exercices techniques,
relevés de traits, transposition, travail d'un standard
sont au programme ! Pour ce qui concerne la composition, le processus
revêt différents aspects : un peu d'inspiration et surtout
du travail, le tout saupoudré d'un savant mélange d'instinct
et de rigueur ! Au départ, il y a quasiment toujours une idée
mélodique qui s'impose, une unique phrase en général.
La plupart du temps, je commence par harmoniser cette phrase de différentes
manières, puis le résultat me fait automatiquement rebondir
vers d'autres possibilités, d'autres directions. Je m'attache
à obtenir la plus grande cohérence possible dans la forme
et dans le rapport mélodie-harmonie. La forme se déduit
du fond d'une façon générale, sauf si, bien sûr,
je m'appuie sur des structures harmoniques habituelles (blues, anatoles ).
Le processus est assez rapide, deux à trois jours, parfois une
semaine. Je vis à ce moment-là du matin au soir avec le
morceau qui est en cours d'élaboration, je suis en immersion
totale. Parfois, pour des raisons qui m'échappent, je suis dans
l'incapacité immédiate de terminer ma composition en cours
et la laisse donc " reposer ", pour la reprendre quelques
fois des mois après. Je fonctionne par cycles courts et denses,
mais peux très bien ensuite ne rien écrire pendant des
mois. Je ne force jamais l'idée première, cette fulgurance,
celle qui, en réalité, décide du " caractère
" du morceau."
Alexis Tcholakian est leader d'un trio qu'il a composé avec
Claude Mouton (contrebasse) et de Benoist Raffin (batterie) : "
Ils ont tous les deux joué avec une kyrielle de musiciens
aux noms parfois prestigieux (Sam Woodyard, Jackie Mc Lean, Alain Jean-Marie,
Michel Grailler, Mal Waldron, René Urtreger pour Claude,
et Jean-loup Longnon, Steve Potts, Jean-Jacques Avenel pour Benoist).
Claude et moi jouons ensemble, souvent en duo d'ailleurs, depuis une
douzaine d'années déjà, quant à Benoist,
il nous a rejoint, il y a deux ans. Notre répertoire est composé
d'environ 3/4 de standards (voire de nouveaux standards : Mulgrew Miller,
Chick Corea, Kenny Kirkland, Steve Swallow, Fred Hersch ) et d'environ
1/4 de mes compositions. Avec les musiciens qui font partie de mes projets,
j'essaie de développer une connivence que seule la durée
dans le temps permet. Ainsi mon premier trio a vécu une dizaine
d'années avant de laisser la place à un autre projet."
Ecouter...et voir
Nouveau
parution en novembre 2011
Alexis Tcholakian Trio
Poetic Memory
Alexis Tcholakian, piano
Claude Mouton, contrebasse
Thierry Tardieu, batterie
Sicilienne
Brazilian Like
Night Reflections
Prelude No. 4, Op. 28
Samba em preludio
A eschola de ser feliz
Fragile
Stabat Mater : Choral No. 1
Récemment le ministre des transport allemand dans le
cadre de sa campagne visant à promouvoir la conduite sécuritaire
a indiqué que la musique de Mozart peut arrêter les
accidents et sauver des vies, et il a illustré ses propos
en jouant par contre une pièce de Chopin (voir actualité
du 27 octobre 2011, ) il est possible que son affirmation contribuera
à la vente du récent disque des concertos de Mozart
avec la pianiste Hélène Grimaud mais il est d'autres
musiques qui devraient aussi parvenir à ces oreilles ainsi
celles du pianiste Alexis Tcholakian que l'on avait pu découvrir
il y a quelques années à l'occasion de la sortie
de son disque piano solo au titre très évocateur
:" Searching for peace". Après la parution
entre temps de deux DVD live voici son nouveau disque en trio
cette fois " Poetic Memory" qui vient nous rappeler
aussi qu'effectivement la musique adoucit, parfois, les moeurs.
Il est de plus en plus fréquent que des pianistes de jazz
arrangent des oeuvres classiques par contre il est un peu moins
fréquent que les pianistes entraînent avec eux dans
cette aventure un contrebassiste et un batteur, c'est dire si
Alexis Tcholakian sait communiquer cette paix et en l'occurrence
les deux musiciens qui l'accompagnent se montrent aussi dans le
même esprit pacifique adoptant une douce rythmique...cliquez
ici pour lire la suite et écouter des extraits
Paru le 25 mars 2010
Un
DVD(et non pas un CD tel que le référence fnac.com) qui
sort le 25 mars ....ALEXIS
TCHOLAKIAN TRIO « PLAY TIME » Live at the Swan
La Seine TV & Aphrodite Records présentent « Play Time
» Live at the Swan, le nouveau DVD en Trio du pianiste Alexis
Tcholakian, qui sort en France, en DVD, le 25 mars 2010 (jaquette en
pièce jointe).
Le répertoire est constitué de : * 5 standards («
You dont know what love is », « God bless the child
», « For all we know », « I remember Clifford
» et « With a song in my heart ») * Ainsi que dune
composition du pianiste (« E & Y ») / partition proposée
dans le livret * dun entretien/conversation entre Alexis Tcholakian
et le journaliste Pascal Anquetil. Le Trio joue une musique intime et
groovy, élégante et vigoureuse, expressive et chantante,
qui permet dapprécier lambiance resserrée
du club, au plus près des musiciens. Le 11 février 2010,
la sortie de « Play Time » a eu lieu au Sunside Jazz Club
devant une salle comble. Pour la 8ème note : « Alexis
Tcholakian nous a offert une sensibilité et un lyrisme étonnants,
transmis par le jeu de ses doigts discrets et agiles en résonance
parfaite avec la poésie onirique de son esprit secret ! »
Ce DVD n'est semble-t-il pas disponible sur amazon et il n'est pas impossible
que la fnac en change le référencment maispour l'instant
cliquez sur l'image pour vous le procurer.
Le pianiste Alexis Tcholakian que l'on avait pu découvrir
en début d'année 2008 à l'occasion de la
sortie de son disque piano solo "Search for peace"
est bien décidé à se faire connaître
tant du public que des responsables de festivals et salles de
concerts et dans ce but il a choisi d'enregistrer également
un DVD d'un concert piano solo sorte de "deuxième
volet, et continuité de ce disque"explique-t-il.
Il a donné un titre à ce DVD : 'Self portrait",
un titre effectivement bien choisi car il est vrai que le support
DVD enregistré live ne permet aucune tricherie, mais au
contraire permet de voir et entendre le musicien exactement tel
qu'il est en concert, d'autant plus que disposant de moyens limités
il n'était pas question ici de faire des effets d'image
quelconque. Ce DVD offre ainsi la possibilité de découvrir
son univers dans l'authenticité d'un concert dont l'atmosphère
particulièrement intimiste de la salle et du récital
donne à chaque spectateur l'impression d'être non
seulement dans la salle, mais assis à côté
du piano, à l'écoute attentive des belles mélodies
du piano très chantant d'Alexis Tcholakian. Alexis Tcholakian
a bien voulu répondre à quelques questions pour
présenter son DVD...cliquez
ici pour lire ses réponses et voir un extrait de ce
DVD
Alexis Tcholakian, piano
Search for peace
Sous une jolie peinture d'un bleu apaisant le Cd du pianiste
Alexis Tcholakian porte bien son titre 'Recherche de paix"
en français,et également titre d'un des morceaux
de Mc Coy Tyner présent sur ce disque. Sa douce musique
tout aussi apaisante mais aucunement soporifique porte assurément
la paix en elle, une paix communicative : mettez ce disque sur
votre platine et nul doute que le pouvoir magique des mélodies
mélancoliques vous invitera à la réconciliation
et vous fera oublier toute tension tout en captant votre attention
à l'écoute médusée des notes immédiatement
offertes dans un jeu d'une immense tendresse. Alexis Tcholakian
a bien voulu répondre à quelques questions au sujet
de ce disque..cliquez
ici pour lire ces réponses
Le prochain concert d'Alexis Tcholakian :
le 10 janvier 2012 au 38Riv à Paris
En savoir plus
Visitez le site internet d'Alexis Tcholakian...cliquez
ici