Laurent Coq
Merci à Laurent Coq d'avoir répondu aux questions de "Piano
bleu" pour la réalisation de cette page.
Biographie résumée
Laurent
Coq est né le 22 février 1970 à Marseille. C'est
un peu grâce à son frère qu'il découvre le
piano : "Je m'amusais avec son petit clavier qui lui servait à
accorder son instrument. À l'âge de sept ans, devant mon
insistance à pianoter, ma mère m'a inscrit dans une classe
de piano collective. Un an plus tard, j'ai commencé à travailler
avec un professeur merveilleux, Mademoiselle Françoise Hunziker,
qui m'a préparé à l'entrée au Conservatoire.
J'ai continué à la voir pendant de longues années."
A dix ans, il est admis au Conservatoire National de Musique d'Aix-en-Provence
dans la classe de Mademoiselle Courtin (qui fut aussi le professeur d'Hélène
Grimaud)..."Mlle Courtin avait été l'élève
d'Alfred Cortot. Je suis entré dans sa classe à l'âge
de dix ans et j'ai suivi son précieux enseignement pendant sept
ans, jusqu'à sa retraite. Elle m'a inculqué les fondamentaux,
comme on dit dans le domaine sportif. Elle était un professeur
exigeant et passionné, une grande dame issue d'une époque
révolue. J'ai eu beaucoup de chance d'avoir fait mon apprentissage
avec des maîtres qui savaient cultiver la personnalité musicale
sans sacrifier au travail technique. Les cours étaient difficiles,
et je me souviens en être parfois sorti en pleurs. Hélène
Grimaud a passé son prix un an avant moi. J'ai peu de souvenirs
d'elle sinon d'une jeune fille programmée à être une
star."
Très rapidement, vers 13 ans, Laurent Coq prend goût à
la musique jazz : "J'ai découvert le jazz avec le disque
de Sarah Vaughan et l'orchestre de Count Basie. Ensuite, j'ai commencé
à écouter le quintet de Miles Davis avec Herbie Hancock.
Mais je jouais déjà des trucs à moi, et je pense
que je me dirigeais naturellement vers une musique qui me laisserait plus
de liberté. Mon premier cours de jazz, c'était avec la pianiste
compositrice Magali Souriau qui vivait à Aix à l'époque,
et qui plus tard est partie s'installer à New York. Ensuite, j'ai
joué dans un quartet avec des musiciens de la région. J'ai
aussi joué des synthés dans un groupe qui allait faire parler
de lui un peu plus tard - et sans moi - sous le nom des Valentins. Sous
la direction de la guitariste Edith Fabuena, nous faisions des concerts
autour d'Aix, des fêtes, des mariages... "
En 1988, Laurent Coq obtient son prix au conservatoire d'Aix en Provence
et part s'installer à Paris où il s'inscrit au C.I.M (à
l'époque, première école de jazz de France). Il y
suit les cours de Emmanuel Bex..."Je savais que j'allais faire
le métier de musicien depuis que j'avais commencé à
jouer. Après avoir fini mon cursus au Conservatoire, j'ai fait
un stage de préparation à Flaine pour entrer au Conservatoire
Supérieur de Paris sans trop y croire. On m'avait parlé
du CIM, et à la rentrée 1988, je suis parti pour Paris.
Ce fut une bonne expérience, et j'y ai fait des rencontres décisives.
Cela dit, rétrospectivement, je regrette de n'être pas parti
étudier aux États-Unis tout de suite. Je crois que l'enseignement
américain correspond mieux à la musique que je voulais jouer."
De 1989 à 1994, Laurent Coq multiplie les expériences.
Il se produit au sein du Quintet du saxophoniste alto Patrick Bocquel,
formation qui rencontre un certain succès en remportant nombre
de concours nationaux dont celui de la CRPLF..."Nous avions d'abord
remporté le concours de Jazz "Sous Les Pommiers" en 93,
qui nous a automatiquement qualifié pour le concours de la CRPLF
l'année suivante. Le groupe était dirigé par le saxophoniste
alto Patrick Bocquel et comprenait le tromboniste allemand Daniel Casimir,
le bassiste Jean-Luc Arramy et le batteur espagnol Daniel Garcia Bruno.
À l'époque, nous faisions quasiment autant de concours que
de concerts..."
En 1994, Laurent Coq obtient un bourse d'étude Lavoisier du Ministère
des Affaires Etrangères pour un séjour de perfectionnement
à New York...."J'avais fait une demande conjointe avec
Patrick Bocquel, et notre projet était tout simplement d'aller
étudier avec des professeurs particuliers américains. Nous
sommes partis six mois. Ce fut une expérience déterminante.
Là encore, après dix ans d'expérience américaine,
je regrette de n'avoir pas intégré une école. Elle
m'aurait permis de rencontrer plus facilement les musiciens de ma génération
et d'avoir plusieurs enseignements. "
Laurent Coq prend des cours avec les pianistes Mulgrew Miller, John Hicks,
et surtout Bruce Barth qui va devenir son mentor..."New York a
été un choc. Une vraie fourmilière et une mégapole
bouillonnante. Depuis les attentats du 11 septembre 2001, la ville a bien
changé. J'ai monté mon dossier de Bourse avec Bruce Barth
que j'avais découvert dans les disques de Terence Blanchard. En
plus d'être un grand pianiste, c'est aussi un très bon pédagogue
et il a beaucoup contribué à mon intégration new-yorkaise.
Plus tard il a été le producteur artistique de mes deux
premiers disques, Jaywalker et Versatile. Nous continuons de nous voir
souvent, parfois chez lui pour jouer ensemble, et parfois je le remplace
à Temple University à Philadelphie où il enseigne
ainsi qu'au Queen College à New York."
En 1996, Laurent Coq signe sa première musique de film pour l'acteur
réalisateur Alain Beigel et en 1997 il enregistre son premier disque
en tant que leader à New York, Jaywalker et son second disque en
1999 : Versatile.
En 2000, fasciné par New York, Laurent Coq s'y installe...."New
York est la capitale mondiale du Jazz. Le nier, c'est faire preuve d'ignorance
ou de mauvaise foi. Il y a un nombre toujours croissant d'excellents musiciens
et une atmosphère unique d'émulation et d'excellence. Les
rencontres sont faciles et le niveau général est sans équivalent.
J'ai donc entrepris les démarches pour obtenir un visa d'artiste
renouvelable tous les trois ans afin de tenter de nouvelles expériences,
après de nombreuses années passées à Paris.
Malgré tout, je continue de revenir souvent en France - où
j'ai passé tout l'hiver - et de jouer avec les excellents musiciens
parisiens." Il est engagé dans le groupe de Sarah Morrow
pour une série de concerts aux Etats-Unis, notamment au JVC Festival
de New York et au Blues Halley de Washington. En Mars 2003, le Quartet
enregistre "Like A Tree In The City" dans un studio du New Jersey.
L'album parait conjointement en Europe chez Cristal et aux Etats Unis
chez Sunnyside, et marque une nouvelle étape dans sa carrière
: Laurent Coq est nominé par l'Académie du Jazz dans la
catégorie Meilleur Musicien de l'Année.
En 2004, Laurent Coq signe la musique de "Qui perd gagne ! "(Laurent
Benegui) et tout récemment il vient d'enregistré le disque
" Spinnin' ", premier disque en trio piano/ basse
/ batterie. Laurent Coq revient en France et assure une résidence
à La Fontaine à Paris en avril et mai 2005, où il
a mené deux expériences qui l'ont fortement intéressé :"J'ai
alterné des soirées avec le Blowing trio comprenant David
El-Malek au tenor et Olivier Zanot à l'alto, et un trio traditionnel
avec Mathias Allamane à la basse et Philippe Soirat à la
batterie. Ce sont deux expériences différentes non seulement
due à leurs instrumentations, mais aussi à des répertoires
distincts. La Fontaine est un endroit charmant qui accueille tous les
soirs un public fidèle et passionné."
Le coeur toujours partagé entre deux nations, Laurent Coq repartira
bientôt à New York : "Mon dernier disque Spinnin'
sort aux U.S.A. sur le label Sunnyside en Septembre. Je vais donc rentrer
bientôt. Je suis désormais dans une situation que les expatriés
connaissent bien : quand je suis à New York, Paris me manque et
vice versa. ". Mais avant il donnera plusieurs concerts :
ainsi il jouera le 11 juin, sur la scène du Parc Floral de Paris
avec Otis Brown III et Darryl Hall dans le cadre du Paris Jazz Festival,
et le 3 juillet il sera au Festival de Jazz de Bellac. Scénes que
Laurent Coq a hâte de retrouver, car à la question de savoir
quel est parmi ses concerts à venir celui qui lui tient particulièrement
à coeur, il répond : "Le prochain ! J'ai toujours
envie de monter sur scène. Je m'y sens de mieux en mieux, et j'ai
la chance de la partager avec de très bons musiciens. C'est vraiment
là que le fruit de toutes ces années de travail se récolte."
Nouveau : En décembre 2005
pianiste Laurent Coq a obtenu le prix du Disque français pour Spinnin'..bravo
!
Ses compositions
Difficile pour Laurent Coq de citer ses musiciens de référence
: "Il y en a trop pour tous les nommer ici. Les musiciens qui
m'ont le plus inspiré ne sont pas nécessairement tous des
pianistes. J'ai été très marqué par la musique
de gens comme Mark Turner ou Kurt Rosenwinkel, il y a quelques années...
mais s'il faut absolument en citer quelques uns ; Thelonious Monk, Bud
Powell, Herbie Hancock, McCoy Tyner, Andrew Hill, Bill Evans, Hank Jones,
Wynton Kelly, Sonny Clark, Keith Jarrett, Kenny Kirkland, Marcus Roberts,
Ethan Iverson..." Ceux-ci et bien d'autres et...son piano, sont
à la base de son inspiration.
Les instruments des formations avec lesquelles Laurent Coq a fait des
entregistrements en tant que leader sont à chaque fois différents,
par contre le quartet a été pendant longtemps sa formation
de prédilection :" Mes deux premiers disques étaient
en quartet. Le disque du Blowing trio n'était pas vraiment prémédité
puisque nous ne savions pas que cet enregistrement réalisé
par Claude Carrière et Jean Delmas pour France Musiques allait
être commercialisé, et cette idée d'un trio avec deux
saxophones était né de l'incapacité à réunir
mon quartet. Mon quatrième disque est encore un quartet, mais américain
celui-là. J'ai donc attendu un moment avant de m'essayer au trio
piano/basse/batterie. Il est communément admis que c'est la formule
la plus difficile et un peu un rite de passage pour tout pianiste. Je
ne vois pas les choses ainsi. J'ai longtemps privilégié
le quartet parce qu'il me permet d'être à la fois soliste
et partie intégrante de la rythmique, et j'aime beaucoup le travail
d'accompagnement et les constructions qu'il induit. Par exemple, les enregistrements
de Herbie Hancock que je préfère sont toujours avec des
soufflants parce que je le trouve au moins aussi créatifs dans
son accompagnement que dans ses solos. Depuis que je joue en trio, je
découvre des espaces différents."
Laurent Coq a écrit la musique de plusieurs films, particulièrement
ceux de Laurent Benegui..."Ecrire pour un film, c'est mettre la
musique au service des images. Cela implique de grandes contraintes formelles.
On doit trouver le rythme juste, et faire en sorte que le suivi de l'action
ne se fasse pas au détriment de la musique. C'est assez compliqué
et laborieux, ça se passe beaucoup devant l'écran d'ordinateur
et n'a pas grand rapport avec l'écriture d'un répertoire
de Jazz. J'ai souvent travaillé avec Laurent Benegui sur des films
où il était réalisateur ou producteur. Nous avons
ainsi développé une complicité qui permet de travailler
plus en profondeur. Le dernier film que nous avons fait ensemble était
"Qui Perd Gagne" pour lequel nous avons enregistré un
orchestre symphonique, et une chanson pour le générique
de fin avec le chanteur Allen Hoist et le Vintage Orchestra."
Laurent Coq a mis sur son site interne tous les morceaux de son premier
disque " Jaywalker" en écoute libre. Il s'exprime longuement
à ce sujet : "Jaywalker n'est plus distribué en
France, par conséquent il m'a semblé opportun de le mettre
en ligne. En ce qui concerne mon site, je fais le pari qu'en mettant beaucoup
de matière - mon premier disque, des inédits live, des morceaux
qui ne figurent pas sur les disques, des films de concerts - je vais susciter
la curiosité des internautes et leur désir d'acquérir
les disques plus récents. Nous verrons... Internet a définitivement
changer la manière de diffuser la musique, et donc de la produire.
C'est un changement de taille. Il va falloir trouver de nouveaux moyens
de vendre une musique qui s'est complètement dématerialisée.
Il y a aujourd'hui une génération, en particulier aux U.S.A.
où le niveau d'équipement informatique est important, qui
n'a jamais payé pour la musique. C'est cette génération
qu'il va falloir apprivoiser. Ce ne sera pas facile. Je suis le premier
à me réjouir de l'explosion d'internet et des facilités
d'échanges qu'il offre, mais cela pose la question de la production.
Faire un disque de Jazz coûte toujours aussi cher. Il faut toujours
aller en studio, avoir un vrai piano, le faire accorder, payer un ingénieur
du son, les musiciens... Comment va-t-on rentabiliser un disque ? Quand
je vois des gens qui copient les disques de jeunes musiciens, je trouve
ça un peu déprimant. Copier des disques de Miles ou de Coltrane,
encore ça peut se défendre puisqu'ils ne sont plus là
pour en percevoir les dividendes, mais qu'en est-il des musiciens vivant
qui galèrent à produire des disques de qualité ?
En même temps, je sais que la tentation est grande et les moyens
faciles. J'ai fait l'interview de Pat Metheny pour le magazine Jazzman
en décembre dernier à New York, et il me faisait part de
son inquiétude face à une tendance au désinvestissement
et à une perte d'implication générale. En moyenne,
on estime que les américains passent quinze heures par semaine
à regarder la télé, et autant sur internet. C'est
finalement comparable aux problèmes de la grande distribution qui
s'est souvent faite sur le dos des petits producteurs et au profit de
la surconsommation de produit de mauvaise qualité. Je connais des
internautes qui remplissent de manière compulsive des disques dur
en fichiers Mp3 sans même plus prendre la peine de les écouter."
Quant aux projets , ceux-ci ne manquent pas, mais ne sont pas encore
précis : "Je ne sais pas encore ce que sera mon prochain
projet. Pour l'heure, je veux jouer ce nouveau répertoire sur scène.
Quant à faire un disque en solo, pourquoi pas. Mais là encore,
je ne veux pas céder au pièges des modes et du marketing.
Les projets doivent naître d'une nécessité intérieure.
"
Qui sait s'il ne s'agira pas d'un DVD, car interrogé sur ce qu'il
pense de ce support, Laurent Coq confie : "En fait nous avons
la chance d'avoir les images de l'enregistrement Live@the Duc des Lombards
du Blowing trio. Le concert avait été filmé à
trois caméras. Peut-être sortirons nous le DVD un jour. Sinon
j'aimerais bien faire un disque qui serait accompagné d'un DVD
avec toute la préparation filmée, les répètes,
l'enregistrement le mixages etc... un peu comme un making off en somme."
Ecouter...
La sélection de Piano bleu...
Nouveau : paru en avril 2015
The Lafayette Suite
Laurent Coq,piano
Walter Smith III,saxo
Joe Sanders, contrebasse et basse électrique
Damion Reid , batterie
Cliquez sur l'image ci-dessus pour en savoir plus sur ce disque présenté dans l'actualité du piano
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Laurent Coq Blowing Trio
The thing to share
Il suffit d'une visite sur le site internet de Laurent Coq pour
savoir que ce pianiste a beaucoup de chose à partager...
enfin surtout de la musique et cela tombe bien car la musique c'est
justement ce qui intéresse les amateurs de piano. Si Laurent
Coq offre tant de musique en partage c'est d'abord parce qu'il ose
faire le pari que les internautes ne sont pas tous que de vulgaires
et méchants pirates, ainsi disait-il lors de ses réponses
à pianobleu.com : "En ce qui concerne mon site, je
fais le pari qu'en mettant beaucoup de matière - mon premier
disque, des inédits live, des morceaux qui ne figurent pas
sur les disques, des films de concerts - je vais susciter la curiosité
des internautes et leur désir d'acquérir les disques
plus récents"... une jolie confiance à laquelle
vous lecteurs saurez certainement être à la hauteur,
en vous procurant ce nouvel album à partager...Pour partager
la beauté, l'émotion d'une musique d'une formation
originale : un piano et deux saxophones, qui soufflent des airs
très mélodieux, et d'une douceur bienfaisante....cliquez
ici pour lire la suite
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(Sélection du mois
Juin 2005
Jazz au Piano bleu)
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Laurent Coq Trio
Spinnin'
Pour son cinquième disque, le pianiste/compositeur Laurent Coq
a fait appel au batteur Otis Brown III avec lequel il a beaucoup
joué ces dernières années, et à un bassiste que, parait-il , tout
le monde se dispute : Reuben Rogers.
Si Laurent Coq a déjà obtenu le Grand prix du disque
de l'académie Charles Cros en 2002 pour son disque en trio
un piano/deux saxos, c'est le premier disque en trio piano/basse/batterie
qu'il enregistre. Celui-ci, dont six morceaux sont originaux, s'annonce
tout aussi bien accueilli puisqu'il est déjà choisi
"Disque d'émoi" par jazz magazine et " Coup
de coeur" par Piano magazine et la Fnac.
Naviguant entre la France et New-York, où ce disque a été
enregistré, Laurent Coq mène d'un bon pas le trio
dans une agréable ballade en passant par Toulouse( Nougaro)
et Barcelona(Turner), par une musique harmonieusement tissée
de douces mélodies et de rythmes soutenus.
Les internautes que vous êtes seront de plus comblés
par la visite du site internet de ce compositeur partageur qui offre
un morceau entier en bonus gratuit à ce disque sur son site
officiel. Faites-y aussi une grande ballade, plein de bonnes surprises
vous y attendent. Enfin n'oubliez pas de vous procurer ce disque,
à un prix comme on aimerait en voir plus souvent : cliquez
ici ou sur l'image ! Et pour écouter le bonus sur le
site de Laurent Coq....cliquez
ici
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Jaywalker
Laurent Coq piano
Jean-Christophe Béney ténor
Jules Bikoko bi Njami basse
Daniel Garcia-Bruno batterie
C'est le premier disque de Laurent Coq, enregistré en 1997.
Celui-ci a reçu nombreux éloges de la presse lors
de sa sortie. Ainsi " Remarquable premier disque ! (...)
une musique (...) subtile, gorgée d'énergie urbaine
et de finesses harmoniques et rythmiques. " a écrit
Thierry Quenum de Jazz Magazine
Comme expliqué plus haut, tous les morceaux de ce disque
sont offerts dans leur intégralité sur son site..cliquez
ici ou sur l'image pour les écouter.
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Pour écouter les extraits d'autres disques
de Laurent Coq... cliquez
ici
Bientôt en concert
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Le 28/03/07 au Dessous de Ginette, Paris, avec le Laurent Coq trio
Yoni Zelnik et Karl Jannuska
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Le 31/03/07 à St Rémy les Chevreuses avec Pierrick
Pedron
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Le 25/04/07 au New Morning, Paris, avec le Blowing Trio
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Le 5/05/07 au Crescent, Macon, avec Sophie Alour
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Le 12/05/07 au Marly Jazz Festival avec Sophie Alour
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Le 17/05/07 à Jazz Sous les Pommiers, Coutances, avec Pierrick
Pedron
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Le 19/05/07 à Jazz Sous les Pommiers, Coutances, avec Sophie
Alour
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Le 24/05/07 à Arles avec Pierrick Pedron
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Le 26/05/07 au Duc des Lombards avec Sonia Cat-Berro
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Le 28/05/07 au Duc des Lombards avec Rick Margitza
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Le 22/06/07 Festival de Jazz d'Orléans avec Pierrick Pedron
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Le 30/06/07 à Beyon (78) avec Pierrick Pedron
En savoir plus
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ici
© pianobleu.com ---- contact : -
Agnès Jourdain
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